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PREMIER ABRÉGÉ D'UN SERMON
POUR
LE JOUR  DE  PAQUES.

 

SECOND ABRÉGÉ D'UN SERMON  POUR  LE JOUR DE PAQUES

 

O stulti et tardi corde ad credendum in omnibus quœ locuti sunt prophetae ! Nonne haec oportuit pati Christum, et ita intrare in gloriam suam? Luc, XXIV, 25, 26.

 

Cette vérité, combien inculquée par l'Eglise dans ce saint temps. Cet évangile se lira demain. Mardi, l'Evangile selon saint Luc, où il est dit à latin : Quoniam sic scriptum est, et sic oportebat Christum pati (1). Et le mercredi, dans l'Epître : Deus autem, quœ prœnuntiavit per os omnium prophetarum pati Christum suum, sic implevit (2).

Quoi donc ! encore la passion ! — Oui, la passion, mais comme

chemin à la gloire. Trois vérités : 1° passer par la croix; 2° en quoi consiste cette croix ; 3° les moyens.

La nécessité de passer par la croix. Jésus-Christ : Si quis vult

post me ventre....., tollat crucem : ad omnes. Quotidiè (3). Et saint

Paul, per omnes civitates : Quia per multas tribulationes oportet nos intrare in regnum Dei (3). L'exemple de Jésus-Christ qui

 

1 Luc, XXIV, 46. — 2 Act., III, 18. — 3 Luc, IX, 23. — 4 Act., XIV, 21.

 

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voulait par là, 1° expier le péché; 2° montrer son amour. Nous de même.

Combien important, combien difficile d'entendre cette vérité. Les apôtres, point entendre les souffrances de Jésus-Christ ; remarquez Luc., IX, 17; voyaient la suite : Sequatur me (1). Pierre se fait appeler Satan : Absit, absit à te, Domine, non erit tibi hoc (2). Oui, son royaume : Dic ut sedeant hi duo filii mei, unus ad dexteram tuam, et unus ad sinistram in regno tuo (3). Mais lui : Potestis ne bibere calicem (4)? Ouvrons donc les yeux à cette grande vérité. Si hoc in viridi ligno faciunt, in arido quid fiet (5) ?

Mais que devons-nous souffrir? Je pourrais vous dire : Maladies, disgrâces, pauvreté, perte de biens, etc. ; mais autre chose. Abneget semetipsum (6). Croix inévitable. Renoncer à soi-même : combattre ses mauvais désirs, son avarice, sa mollesse, sa paresse, sa lenteur, son inquiétude, son ambition, ses attachements, ses commerces, en un mot ses sens, ses plaisirs, son goût qui mène à d'autres goûts, ses inimitiés, son indocilité, son arrogance, ses vengeances, son immodestie et cet amour des parures, sa vanité. Combat continuel : s'arracher ; sanglant, violent : Violenti rapiunt illud......vim patitur (7). — Multa pati et reprobarià generatione hàc (8). Retenir ses murmures. Dans les maladies, ingratitude envers ceux qui nous soulagent; on se prend à eux de son mal.

Les moyens. L'exemple de Jésus-Christ. Avec lui : Proposito sibi gaudio sustinuit crucem, confusione contemptà (9). — Absterget Deus omnem lacrymam ab oculis eorum (10).— Mulier cùmparit, tristitiam habet, quia venit hora ejus; cùm autem pepererit puerum, jam non meminit pressurœ propter gaudium, quia natus est homo in mundum (11).

Deux tableaux : le juste souffrant, le méchant souffrant. Le juste souffrant : Job, Jérémie, Daniel, saint Etienne. Le méchant souffrant : Apocalypse, X. Pourquoi contre Dieu? On sent que tout vient de Dieu : on s'emporte contre lui. Espèce de religion

 

1 Luc, IX, 23. — 2 Matth., XVI, 22, 23. — 3 Matth., XX, 21. — 4 Ibid., 22. — 4 Luc., XXIII, 31. — 5 Luc, IX, 23. — 7 Matth., XI, 12. — 8 Luc, XVII, 23. — 9 Hebr., XII, 2. — 10 Apoc., VII, 17. — 11 Joan., XVI, 21.

 

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dans le blasphème : on reconnaît que c'est Dieu...., sa justice. En soulagent-ils leurs maux? Au contraire : Commanducaverunt linguas suas prœ dolore (1). Leur rage, leur dépit les augmentent, les aigrissent, commencent leur enfer. Et les autres : ils louent, ils bénissent, ils pardonnent. Les méchants s'emportent contre ceux qui les soulagent. Saint Etienne, pour ceux qui le font mourir. Ce malade impatient, pourquoi s'en prend-il à sa femme et à ses enfants? On ne veut pas avoir besoin, on ne veut pas dépendre. Fond d'orgueil. En toutes manières ceux qui souffrent mal, venin dans leur plaie. Mais au contraire l'humilité, la patience, quel baume! quel merveilleux adoucissement! Quoi de plus doux que ce que dit Job : Verbosi amici mei, ad Deum stillat ocidus meus (2). Oui, je verse des larmes, mais c'est devant vous, c'est pour vous, de confiance, de tendresse. C'est vous que je veux fléchir, de qui je veux m'attirer la compassion. Que me fait la pitié des hommes? Et cependant on veut être plaint. Trop de faiblesse, amour-propre. « Mais, ô mon Dieu, ma miséricorde (3). » Tu autem, Domine, miserere mei et resuscita me (4).

Si vous vous attachez à lui, voici sa promesse : Ego scio cogitationes quas cogito super vos. Vous ne les savez, mais je les sais : Cogitationes pacis et non afflictionis, ut dem vobis finem (5) : la fin de ces maux. Et si ce n'est pas sitôt : Et patientiam ; ce qui vaut mieux que la fin des maux, parce que « l'affliction produit la patience ; l'épreuve, l'espérance , laquelle ne nous trompe pas (6), » parce que « celui qui espère en Dieu ne sera jamais confondu (7), » mais éternellement rendu heureux avec le Père, le Fils et le Saint-Esprit. Amen.

 

1 Apoc., XVI, 10, 11. — 2 Job, XVI, 21. — 3 Psal. LVIII, 18. — 4 Psal. XL, 11 — 5 Jerem., XXIX, 11. — 6 Rom., V, 3-5. — 7 Eccli., II, 11.

 

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SECOND ABRÉGÉ D'UN SERMON
POUR
LE JOUR DE PAQUES (a).

 

Gaudete in Domino semper; iterùm dico, gaudete. Philip., IV, 4.

 

Quel nouveau commandement ! Peut-on commander de se réjouir? La joie veut naître de source; ni commandée ni forcée. Quand on possède le bien qu'on désire , d'elle-même avec abondance. Quand il manque, on a beau dire : Réjouissez-vous; eut-on itéré mille fois ce commandement, la joie ne vient pas. Et toutefois c'est un précepte de l'Apôtre; trois fois dans cette Epître: « Au reste, mes Frères, réjouissez-vous en Notre-Seigneur (1) ; » ici : « Réjouissez-vous toujours (2) ; » et encore : « Réjouissez-vous ; » aux Thessaloniciens : « Réjouissez-vous toujours (3). » Et de peur que vous ne croyiez que ce soit un précepte apostolique, Notre-Seigneur : Gaudete et exultate (4); et il le répète souvent, et c'est le commandement de Jésus-Christ ressuscité. Tout est en joie dans l'Eglise. Je vous ai prêché la componction, qui est le sentiment qu'inspire Jésus-Christ crucifié ; aujourd'hui, la joie que Jésus-Christ ressuscité........ Il ne faut pas toujours reprendre les vices, enseigner la perfection et les vertus. « Matière haute qui passe les sens, » quœ exsuperat omnem sensum (5). Un peu de ce goût céleste, par la grâce du Saint-Esprit et l'intercession de la sainte Vierge.

 

Celui qui nous commande de nous réjouir, nous commande d'aimer; mais celui qui nous commande de nous réjouir toujours, nous commande d'aimer un objet toujours heureux, et d'aimer un objet toujours présent. Appuyer. — Car, hélas! peut-on être en joie? Et cet objet. C'est Jésus-Christ ressuscité. Toujours heureux, il ne meurt plus; toujours présent, il demeure en nous par la foi.

 

1 Philip., III, 1. — 2 Ibid., IV, 4. — 3 I Thess., V, 16. — 4 Matth., V, 12. —5 Philip., IV, 7.

 

(a) Ecrit de la main de Bossuet au commencement du manuscrit: « Pâque, 1685.» En outre l'auteur décrit une cérémonie qui était propre à l'église de Meaux.

 

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Mais celui qui commande deux fois de se réjouir semble avoir vu en Jésus-Christ deux sujets de joie pour ceux qui l'aiment : les grâces déjà reçues par Jésus-Christ ressuscité, les grâces assurées et promises par sa résurrection ; les grâces de la vie présente, et celles qu'on espère dans la vie future. Deux points.

 

PREMIER  POINT.

 

La joie, dans son origine , devait être avec la sainteté. Dieu est une nature bienheureuse; mais il est bienheureux, parce qu'il est saint. Là donc est la source de la joie, ou plutôt n'appelons pas joie. Joie, transport, ravissement vient de dehors; à Dieu, point. Disons qu'il est bienheureux; mais afin que nous le fussions, il nous a envoyé la joie comme l'acte le plus parfait d'un amour heureux et jouissant. Dans les anges. Ils ne sont pas demeurés dans la vérité : la joie les a quittés. Dans le paradis terrestre, objets agréables; la joie avec l'innocence. Pourquoi donc nous demeure-t-il des joies sensibles? Recourez à l'origine : elles étaient avec l'innocence : Dieu nous les laisse pourtant, —afin que nous entendions que ce ne sont pas les meilleures, — comme peine. Car il est juste, ô Seigneur , que toute âme déréglée soit punie par son propre dérèglement. Qui se réjouit hors de vous, punie, déçue, tourmentée par sa propre joie. Quand elle s'engage dans le péché, déception ; quand elle échappe, tourment par le souvenir.

Jésus-Christ ressuscité ramène les vraies joies; mais il les joint avec l'innocence , avec la rémission des péchés : Resurrexit propter justificationem nostram (1). — Quod si Christus non resurrexit, vana est fides vestra; adhuc enim estis in peccatis vestris (2). S'il n'est pas ressuscité, Dieu n'a pas agréé son sacrifice, il l'a laissé dans le tombeau mort comme les autres ; mort comme les autres pécheurs, et non pas comme Sauveur, et non pas comme « libre entre les morts (3). » Goûtons donc la joie de la rémission des péchés. Benedic, anima mea, Domino (4). Le passage d'Isaïe : Memento horum Jacob (5). Et : Delevi ut nubem iniquitates tuas et quasi nebulam peccata tua; revertere ad me, quoniam

 

1 Rom., IV, 20. — 2 I Cor., XV, 17. — 3 Psal.  LXXXVII, 6. — 4 Psal. CII, 1. — 5 Isa., XLIV, 21.

 

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redemite (1). Et : Laudate, cœli, quoniam misericordiam fecit Dominus; jubilate, extrema terrœ; resonate, montes, laudationem, saltus et omne lignum ejus, quoniam redemit Dominus Jacob, et Israël gloriabitur (2). — Ipse castigavit nos propter iniquitates nostras et ipse salvabit nos propter misericordiam suam (3). Comme un criminel qui attend dans un cachot, toutes les fois qu'il entend remuer la porte terrible et gémir les gonds redoublés, croit sa dernière heure; on lui annonce sa grâce : Jubilate, montes, laudationem. Et vous qui, pas encore justifiés, venez entendre : Remittuntur ei peccata multa (4), épanchez vos pleurs, vos parfums, etc.

 

SECOND POINT.

 

Mais de là une autre joie : le royaume futur. Jésus-Christ ressuscité nous l'assure; gage de notre résurrection : Et nos resurgemus.

La cérémonie de ce malin (a). Le sacré pontife baise l'Evangile; aux deux côtés : Resurrexit Dominus. Lui, de l'Evangile ; eux, des apôtres : Ego enim accepi à Domino quod et tradidi vobis (5). La parole passe de bouche en bouche : Resurrexit Dominus; c'est la prédication parla venue jusqu'à nous, et qui ira jusqu'à la fin des siècles. Mais qu'ajoute-t-on? Credo, « Je le crois. » Et celui qui dit : « Je le crois, » dit à l'autre : Resurrexit Dominus. Par ces deux mots, par celui de la prédication et celui de la foi. Mais que veut dire ce Credo? Si Jésus-Christ est ressuscité ; et nos resurgemus. Jésus-Christ est ressuscité, mais tout entier, de là la joie. Car que craindre? Quoi? pauvre, un royaume! Complacuit Patri vestro dare vobis regnum (6). Ne vous réjouissez donc pas de ce que, etc. ; mais de ce que Jésus-Christ est ressuscité, et nous tous en lui pour aller régner avec lui.

 

1 Isa., XLIV, 22. — 2 Ibid., 23. — 3 Tob., XIII, 5. — 4 Luc., VII, 47. — 5 I Cor., XI, 23. — 6 Luc, XII, 32.

 

(a) Dans l'église de Meaux, l'évêque, après les Matines du jour de Pâques, ou le célébrant en son absence, s’avance avec les chanoines vers l'autel : après l'avoir baisé, il salue premièrement le chantre, et ensuite le sous-chantre, en leur disant : Surrexit Dominus : chacun des deux lui répond: Credo; et aussitôt ils saluent de la même manière ceux qui les suivent immédiatement, qui leur répondent aussi : Credo, et ainsi successivement l'un et l'autre ils s'adressent les mêmes paroles et se font la même réponse. (Edit. de Déforis.)

 

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Mais pour goûter cette joie céleste, fuyez ces joies qui nous sont laissées pour notre supplice. Gaudio dixi : Quid frustra deciperis (1)? Cette joie qui commence à naître ; tu n'es plus maîtresse de tes désirs, tu ne possèdes plus ta volonté : crains cette joie. Je te vois verser un torrent de pleurs; tu n'oses lever la tête : ah ! si tu avais connu la séduction de la joie ! Quid frustra deciperis? Et toi qui as tendu à ton ennemi d'imperceptibles lacets, pièges invisibles , tu as dit : Qui nous verra ? Il est tombé à tes pieds ; triomphe du cœur : Frustra deciperis. Tu effleures la peau ; à toi le poignard dans le sein. Défiez-vous donc de la joie qui vient des sens ; car il en est comme de ces villes qu'on prend dans une fête. On feint une paix : joie partout : tout d'un coup le feu, l'épée, le carnage. On commence à dire : Malheureuse joie ! Il n'est plus temps; il faut périr. Il fallait avoir connu auparavant que le ris est une erreur, et dire à la joie : Tu t'es vainement trompée. Quand donc une joie soudaine et trop vive; la vapeur monte à la tête, on s'enivre; c'est l'ennemi qui veut te perdre.

La vie humaine , semblable à un chemin ; dans l'issue est un précipice affreux. On nous en avertit dès le premier pas; mais la loi est prononcée, il faut avancer toujours. Je voudrais retourner sur mes pas : Marche, marche. Un poids invincible, une force invincible nous entraîne ; il faut sans cesse avancer vers le précipice. Mille traverses, mille peines. Encore si je pouvais éviter ce précipice affreux! Non , non; il faut marcher, il faut courir. Rapidité des années. On se console pourtant, parce que de temps en temps, des objets qui nous divertissent, des eaux courantes, des fleurs qui passent, etc. On voudrait arrêter : Marche, marche. Et cependant on voit tomber derrière soi tout ce qu'on avait passé. Fracas effroyable, inévitable ruine. On se console, parce qu'on emporte quelques fleurs cueillies en passant qu'on voit se faner entre ses mains du matin au soir, quelques fruits qu'on perd en les goûtant. Enchantement. Toujours entraîné, tu approches du gouffre affreux. Déjà tout commence à s'effacer : les jardins moins fleuris les fleurs moins brillantes, leurs couleurs moins vives, les prairies moins riantes, les eaux moins claires. Tout se ternit, tout

 

1 Eccle., II, 2.

 

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s'efface. L'ombre de la mort. On commence à sentir l'approche du gouffre fatal. Mais il faut aller sur le bord; encore un pas. Déjà l'horreur trouble les sens, la tête tourne, les yeux.....Il faut marcher. En arrière ! Plus de moyen ; tout est tombé, tout est évanoui, tout est échappé.

Je n'ai pas besoin de vous dire que ce chemin, c'est la vie; que ce gouffre, c'est la mort. Mais la mort finit tous les maux passés, et se finit elle-même? Non, non : dans ces gouffres, des feux dévorants, grincements de dents, un pleur éternel, un feu qui ne s'éteint pas, un ver qui ne meurt pas. Tel est le chemin de celui qui s'abandonne aux sens , plus court aux uns qu'aux autres. On ne voit pas la fin. Quelquefois on tombe sans y penser et tout d'un coup. Mais le fidèle......Jésus-Christ, qui l'accompagne toujours.....il méprise ce qu'il voit périr et échapper. Au bout, près de l'abîme, une main invisible le transportera ; ou plutôt il y entrera comme Jésus-Christ, il mourra comme Jésus-Christ, pour triompher de la mort. Quiconque a cette foi, il est heureux (a). Joie de Jésus-Christ ressuscité, qui dégoûte des joies qui passent, et qui donnera la joie éternelle, au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit.

 

(a) Note Marg. : La joie de Tobie. O Jerusalem, beati omnes qui diligunt te (Tob., XIII, 18); qui verront tes murailles rétablies, ton sanctuaire, tes sacrifices. Beatus ero, si fuerint reliquiœ seminis mei ad videndam claritatem Jerusalem (Ibid., 20). Combien plus la céleste Jérusalem !

 

 

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