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TABLE GÉNÉRALE

DES MATIÈRES CONTENUES
DANS LE VINGT-CINQUIÈME VOLUME.

 

A

 

ABDÉRAME, gouverneur des Sarrasins d'Espagne, s'empare de l'Aquitaine : il est battu par Charles-Martel. 16.

 

ADRETS (le baron des), chef des huguenots, se fait haïr dans son parti même, pour ses cruautés envers les catholiques. 523, 524. Il se fait catholique et inquiète les protestants dans le Dauphiné. 528.

 

ADRIEN VI est élu pape par le crédit de Charles-Quint. 331. Il s'occupe de rétablir la paix entre l'empereur et le roi de France. 337.

 

AEGIDIUS ou Gillon, élu roi par les Français, en la place de Childéric I, est chassé du trône par l'intrigue de Guyeman. 3.

 

AETIUS, général des Romains, enlève aux Français une partie des Gaules. Fait avec eux un traité de paix. 2. Il est tué par les ordres de Valentinien III, Ibid.

 

ALBRET (Jeanne d'), reine de Navarre, abandonne son pays qu'elle ne pouvait défendre. 582. Amène son fils à l'armée des protestants. 590. Sa mort. 617.

 

ALEXANDRE VI, pape. Ses vices. 252. Il met tout en œuvre pour s'opposer à la conquête des Deux-Siciles par les Français. 253 et suiv. Sa mort tragique. 287.

 

AMBOISE (Georges d') est fait cardinal. 277. Légat à latere dans toute la France. 281. Il est porté à favoriser le Pape, pour parvenir à la papauté 283. Son ambition et sa simplicité font la risée de l'Europe. 287. Su mort. 299. Ses qualités. Ibid.

 

AMIOT (Jacques) est envoyé au concile de Trente par Henri II. Objet de sa commission. 452.

 

ANDELOT (d'), frère de Coligny, est envoyé par les protestants en Allemagne, pour y solliciter du secours. Il amène un renfort considérable. 534. Il est accusé du meurtre du duc de Guise. 543.

 

ANGLETERRE. Troubles violons qu'elle éprouve. 158 et suiv. 182, 183, 186, 189, 207, 453.

 

ARC (Jeanne d'), dite la Pucelle d'Orléans : récit de ses actions. 174 et suiv. Sa mort. 176.

 

ARNOUL de Carinthie, empereur d'Allemagne, de la race de Charlemagne, est élu roi de Germanie après la déposition de Charles le Gros. 37. Arnoul est sacré empereur par le pape Formose. Ibid. Sa mort. Ibid.

 

AUGSBOURG, ville d'Allemagne. La confession de foi des Luthériens des Zwingliens y est présentée à Charles-Quint. 385.

 

B

 

BAJAZET, empereur des Turcs, porte la guerre en Hongrie, défait les Français. 150. Discours impies de ce prince. Sa triste fin. 152.

 

647

 

BALUE (Jean de la) porte au parlement les lettres du Pape relatives à l'abolition de la Pragmatique-Sanction. 203. Il est fait évêque d'Evreux et cardinal. Ibid. Trahit son maître, et est enfermé dans une cage de fer. 206.

 

BARTHÉLÉMY (massacre de la Saint-). Récit des scènes d'horreurs qui s'y passèrent. 424 et suis. Elles se renouvellent dans quelques provinces du royaume. 428 et suiv.

 

BASINE, femme du roi de Thuringe. épouse Childéric, du vivant de son premier mari. 3.

 

BATHILDE (sainte), femme de Clovis II, gouverne avec sagesse pendant la minorité de ses fils. Soupçonnée sur ses mœurs, elle se retire dans un monastère, 9,10.

 

BAUDOUIN, comte de Flandre, enlève Judith, tille de Charles le Chauve, et l'épouse malgré son père. Il a inutilement recours au Pape, pour se délivrer de l'excommunication lancée contre lui par les évêques. 32.

 

BAYARD (Pierre du Terrail, chevalier) défend courageusement Mézières. 318. Surprend Lodi. 344. Reçoit le commandement de l'armée, quand tout semblait perdu, sauve ses troupes, et meurt de ses blessures. 347. Ses dernières paroles, il est également regretté des ennemis et des Français. Ibid.

 

BLANCHE de Castille, reine de France, est nommée tutrice de Louis IX, son fils : son activité à déjouer les entreprises de ses ennemis, son adresse à les diviser. 66 et suiv. Soin qu'elle prenait de former son fils à la vertu. 67.

 

BONIFACE VIII, pape. Comment il parvient au souverain pontificat. Ses démêlés avec Philippe le Bel. 90.

 

BONNIVET (Guillaume Goufier, dit l'amiral), s'empare de Fontarabie, obtient le principal commandement des années d'Italie. 334 et suiv. Ses mauvais conseils niellent la France à deux doigts de sa perle. Ibid. Sa mort. 354.

 

BOSON, favori de Charles le Chauve, se fait roi de Bourgogne. Vaincu à différentes reprises, il fait sa soumission, et conserve à ce prix ses Etats, 36.

 

BOURBON (Antoine de), roi de Navarre, dispute la régence du royaume de France pendant la minorité de Charles IX. 501. Les protestants jettent les yeux sur lui pour le mettre à la tête de leur parti. Son irrésolution fait échouer leurs projets. Le colloque de Poissy le dégoûte des calvinistes ; il s'unit avec les chefs du parti catholique. 514. Sa mort. 534.

 

BOURBON (Charles duc de) est fait connétable. 310. S'empare par adresse du château de Milan. 316. Les injustices qu'il éprouve l'engagent à se jeter dans le parti de l'empereur. 337. La principale espérance des ennemis de la France repose sur lui. 343. Désespéré du mauvais étui de ses affaires, il lente de se rendre maître de Naples. 369, 370. Il s'attache ses troupes par l'espérance du pillage ; il conduit son armée contre Rome : sa mort. 371.

 

BOURGOGNE. Voy. Jean, dit Sans Peur, Louis XI.

 

BRANDEBOURG (Albert de) fait avec furie la guerre aux catholiques. 456. Il est abandonné par l'empereur à la chambre de Spire. 458.

 

BRISSAC (le maréchal de), un des plus estimés capitaines de son temps. 551. Il obtient divers commandements dans les armées. Voy. François I, Henri II et Charles IX.

 

BRUNEHAUT, femme de Sigebert. 6. Sa mort malheureuse. 8.

 

648

 

C

 

CALVIN (Jean) publie son livre de l’Institution. 398. Portrait de cet hérésiarque. Ibid. Sa secte fait de grands progrès en France. 448. Guerres qui se préparent entre les catholiques et les calvinistes. 516, 517. Quelle en fut l'occasion. 516. Ils commettent des désordres inouïs. 522.

 

CARLOMAN, fils de Charles-Martel. Ses victoires sur différons peuples. Dégoûte du monde il se retire dans un monastère. 17.

 

CARLOMAN, fils de Louis II, roi de Neustrie, réunit sous sa domination la France entière, par la mort de son frère. 36. Sa mort. Ibid.

 

CARROUGE (Jean), se bat en duel contre Jacques le Gris. 139. Le sujet de ce combat est remarquable. Ibid.

 

CHARLES-MARTEL est fait prince d'Austrasie. Il se fait élire maire du palais en Neustrie. Il va réduire les Saxons, après avoir pacifié la France. 12, 14. Il défait les Sarrasins devant Tours, il est fait duc des Français. Ibid. Sa mort. 17.

 

CHARLES I, dit Charlemagne, réunit à son domaine le royaume de Carloman, son frère; ses victoires. 20; Il est déclaré patrice de Rome, roi des Lombards, et pou après empereur d'Occident. 21 et suiv. Il tâche d'assurer la couronne à ses enfants, en les faisant couronner de son vivant. Ibid. Sa conduite généreuse envers les papes. 22, 23. Il déclare la guerre aux Saxons, dans le dessein d'établir la religion parmi eux. 24. Sa sévérité à leur égard. 25. Considération que lui attirent de la part des princes infidèles, ses hauts exploits. 26. Des malheurs domestiques troublent une longue suite de prospérités. 37. Ses admirables qualités. Ibid.

 

CHARLES II, dit le Chauve, s'unit à son frère Louis, roi de Germanie, contre Lothaire, et bientôt après à Lothaire contre Louis. 31 et suiv. Son attention à profiter des circonstances pour agrandir ses Etats. 33. Il se fait couronner empereur. Sa mort. Jugement sur son règne. 34.

 

CHARLES III, dit le Gros. Des actions honteuses ternissent l'éclat de ses bonnes qualités. Son royaume lui est été par les seigneurs, et il meurt dans la plus affreuse misère. 26, 27.

 

CHARLES IV, dit le Simple, éprouve la révolte de ses sujets. Chassé du trône il le recouvre bientôt après : il meurt misérablement, victime de la fourberie de ses ennemis. 38.

 

CHARLES IV, dit le Bel, gouverne son royaume avec beaucoup de prudence et de vertu. 96, 97. Reproches qu'il sembla mériter. Ibid.

 

CHARLES V, dit le Sage, est régent du royaume pendant la captivité du roi Jean. 110. Il balance à recevoir les conditions imposées pour la liberté du roi. 112. Prend les plus sages mesures pour recouvrer les provinces cédées aux Anglais; leur déclare In guerre; ses moyens pour en assurer le succès. 117 et suiv. Il fixe la majorité des rois de France à quatorze ans. 121, Il poursuit avec vigueur ses projets, 122. Instruit de sa prochaine mort, il met ordre aux affaires de sa conscience et de son Etat. 127. Regrets que sa mort cause aux Français. Grands biens que la France reçoit de son administration. 127, 128. Il obtient de ses ennemis cet éloge, que jamais roi n'avait fait de si grandes choses. 120.

 

CHARLES VI. Troubles arrivés dans plusieurs royaumes sous son règne : quelles en furent les différentes causes. 180. Donne du secours au comte de Flandre

 

649

 

contre ses sujets révoltés. 134. Châtiment qu'il exerce contre ses sujets qui s'étaient soulevés. 136. Epouse la fille du duc de Bavière. 138. Veut porter la guerre en Angleterre : ses préparatifs deviennent inutiles. 138, 139. il s'occupe du soulagement des maux qui pèsent sur le peuple. 144. Reçoit l'hommage du comté de Foix. Ibid. Triste accident qui lui fait perdre la raison. 147, 148. Sa santé étant rétablie, il envoie des secours à la Hongrie contre les Turcs; s'occupe de mettre fin au schisme qui désole l'Eglise. 152. La faiblesse de sa raison livre le royaume nu déchirement des factions. 153 et suiv. Il déshérite son fils, et déclare le roi d'Angleterre régent du royaume. 170 et suiv. Mort de ce prince. Gris douloureux que les bons Français entendent à ses funérailles. 173.

 

CHARLES VII, N'étant encore que dauphin, il est déclaré par son père déchu du droit à la couronne. 170. Il monte sur le trône. Triste état de la France dans ces conjonctures. 112. Moyens presque miraculeux par lesquels il relève ses affaires. 174 et suiv. Fait la paix avec le doc de Bourgogne; se rend maître de Paris. 179. Son autorité rétablie par le succès de ses armes, est presque ruinée par les divisions domestiques. Ibid. Il impose la taille. 180. Continue avec succès la guerre contre les Anglais. Ibid. et suiv. Réflexions sur la rapidité de ses conquêtes, et sur ses causes. 185. Chagrins que lui donne la conduite de son fils. 194. Sa mort. Ibid.

 

CHARLES VIII. Division des princes au commencement de son règne. 243 et suiv. Elles donnent lieu à quelques petites guerres. 244 et suiv. Il épouse Anne de Bretagne. 250. S'occupe de la conquête du royaume de Naples. 251. Etat de l'Italie en ce temps-là. 252. Crainte que la nouvelle de son expédition répand dans les esprits sages. 255. Embarras où il se trouve. 256 et suiv. Ses succès lui attirent de nouveaux ennemis. 258, 263 et suiv. Ses revers. 269 et suiv. Il repasse en France, où il reçoit la nouvelle de la défection des principales villes d'Italie. 271. Le mauvais état des affaires se fait sentir de plus en plus, 273. Il perd tout ce qu'il avait acquis par les armes, en Italie. 374. Il s'occupe d'y porter de nouveau la guerre. Il meurt pendant les préparatifs. 275.

 

CHARLES IX. Intrigues causées par sa minorité. 500 et suiv. Le besoin de remédier aux maux du royaume lui fait assembler les états-généraux. 503. Il est déclaré majeur avant l'âge requis par les lois. 547. Le commencement de son règne décèle sa dissimulation et sa rigidité. 548 et suiv. Diverses mesures qu’il prend pour détruire la religion protestante. 554, 555. Triste état des affaires du royaume. 584. Son mariage avec Isabelle, seconde fille de l'empereur Maximilien. 609. Il forme le projet de la Saint-Barthélémy. 613. Tout cruel qu'il était, il entre avec regret dans ce dessein. On lui en cache l'étendue et l'atrocité. 619. Profonde dissimulation de ce prince dans l'accomplissement de ses projets. 621 Les remords qu'il éprouve au moment de l'exécution sont étouffés par les remontrances de sa mère. 623. Il tire lui-même sur les protestants, par les fenêtres du Louvre. 635. Il déclare au parlement les motifs qui l'avaient engagé au massacre de ses sujets. 636. Horreur qu'il inspire à tous les gens de bien. 637. La guerre se continue plus furieuse que jamais. 629. Il s'assure des étrangers. Ibid. il tombe malade. 637. Soupçons qu'il a été empoisonné, Ibid. Le gouvernement s'affaiblit avec sa santé. 641. Extrême embarras qu'il éprouve, Ibid. Il déclare sa mère régente du royaume. 645. Mort horrible de ce prince. Ibid.

 

CHARLES-QUINT, soutient ses prétentions à l'empire contre François I. 321. Il l'emporte sur son compétiteur. Ibid. Ses ménagements pour Luther mettent

 

650

 

en feu toute l'Allemagne. 333. Maître de la personne de François I, il lui propose, pour recouvrer sa liberté, des conditions tyranniques, que son prisonnier refuse avec bailleur. 338. Sa conduite pleine de dissimulation et de fausseté. 372 et suiv. Entreprend de purger les mers des pirates Turcs. 398. Il amuse François I par de belles paroles, tandis qu'il fait des préparatifs pour la guerre. 400 et suiv. Sa téméraire confiance de réduire In France. 409 et suiv. Il est obligé de sortir de ce royaume, n'emportant que la bonté d'avoir fait bien du bruit, sans réussir en rien. 414. Embarras qu'il éprouve dans sa retraite. 417. Il obtient le passage de ses armées par la France pour aller soumettre les Gantois. 422. Il fait en sorte de rompre l'alliance de François I avec divers Etats. 423. Il élude les promesses qu'il a faites. 424. Echoue dans sou entreprise contre Alger. 427. Il fait avec le roi d'Angleterre un traité par lequel ils devaient se partager la France. 436. Il songe à réduire les protestants. 441. Malgré quelques revers, sa prudence, sa bonne fortune, ses grandes forces, sa milice si aguerrie, semblent lui promettre un heureux succès. 443, 445 et suiv. Il donne à l'univers un grand spectacle, en abdiquant l'Empire. 464. Il meurt dans sa retraite de Saint-Just, après y avoir passé deux ans en grande tranquillité, occupé de la mort et de son salut. 474.

 

CHARLES BORROMÉE (saint), archevêque de Milan, montre que les derniers siècles avaient des évêques comparables à ceux des premiers temps. 560.

 

CHATILLON (le cardinal de) suit les opinions de Calvin. Il fait la cène à la mode des Calvinistes. 508.. Il se marie, et retient son évêché de Beauvais. 539. Il est cité à Rome pour y répondre sur le crime de l'hérésie et de son mariage. Il passe en Angleterre, avec la commission d'y ménager l'alliance de la reine Elisabeth avec les protestants. 612. Il meurt empoisonné. Ibid.

 

CHÉREBERT, roi de Paris, laisse par sa mort son royaume à Chilpéric. 7.

 

CHILDEBERT I, fils de Clovis, obtient Paris pour son partage. 6. Il consent nu meurtre de ses neveux, dont il partage la succession avec Clotaire son frère, leur meurtrier. Ibid.

 

CHILDEBERT II, roi d'Austrasie, laisse deux fils, Théodebert, roi d'Austrasie, et Théodoric, roi de Bourgogne. 8. CHILDEBERT III, succède à Clovis III, son frère. 12.

 

CHILDÉRIC I. Ses qualités et ses vices, ll est chassé par les Français, et rétabli par les soins de Guyeman, son confident. Ses conquêtes. 3.

 

CHILDÉRIC II. Loi qu'il porte touchant les maires du palais, rendue inutile, il meurt assassiné. 11.

 

CHILDÉRIC III, le dernier des rois fainéants, est mis sur le tronc par les fils de Charles-Martel, et abandonné de ses sujets. 17.

 

CHILPÉRIC I, roi de Soissons, épouse Frédégonde. Ses démêlés avec Sigebert. Il est  tué en revenant de la chasse. 6, 7.

 

CHILPÉRIC II, est mis sur le trône par Reinfroi. Vaincu par Charles-Martel, il s'enfuit en Aquitaine, d'où Charles le rappelle pour lui donner le royaume de Neustrie. 13. Il meurt. 14.

 

CLEMENT VII, pape, fait servir à la politique et à ses intérêts les affaires de la religion. 380, 381. Sa précipitation cause la séparation de l'Angleterre de l'Eglise romaine. 394. Il meurt au milieu de ses desseins ambitieux. 396.

 

CLISSON (Olivier), est désigné connétable par Charles V. 127. Est fait prisonnier du duc de Bretagne, par trahison. 141. Rendu à la liberté, il demande

 

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au roi la réparation de cet outrage. En hutte à la jalousie, il est banni du royaume, privé de sa charge. 147 et suiv. Il va au secours de la Hongrie menacée par Bajazet, est fait prisonnier avec les autres principaux seigneurs de sa suite. Sa mort. 151.

 

CLODlON le Chevelu.. Ses conquêtes. Sa mort. 2.

 

CLODOMIR, fils de Clovis, et roi d'Orléans, est tué à la guerre contre les Bourguignons. Mort malheureuse de ses enfants. 6.

 

CLOTAIRE I, fils de Clovis, et roi de Soissons, égorge les enfants de son frère Clodomir, dont il envahît le royaume, il soumet par la force son fils, qui s'était révolté contre lui, et il le fait brûler avec sa femme et ses enfants. 6. Sa pénitence, et sa mort. Ibid.

 

CLOTAIRE II, fils de Chilpéric, recueille la succession de tons ses parents, et règne ainsi sur toute la France. Sa cruauté envers les enfants de Childebert. 7,8. Il gouverne son royaume mieux qu'il ne l'avait acquis. Ibid.

 

CLOTAIRE III, fils de Clovis II, meurt sans laisser de postérité. Sa mort donne lieu ù quelques différends. 10.

 

CLOTILDE (sainte). Ses précieuses qualités. Elle épouse Clovis, roi des Français. Ses efforts pour attirer son époux à la religion catholique. 4, 5.

 

CLOVIS I. Quels furent les exercices de sa jeunesse. 3. Il défie à une bataille Syagrius. Celui-ci est défait et livré à Clovis, qui le fait mourir. Conquêtes de Clovis. 4. Il recherche et obtient la main de Clotilde. Avantages qui doivent résulter de ce mariage pour le Roi et pour la nation. 4. Il fait vœu d'embrasser le christianisme, s'il sort victorieux d'un combat qu'il allait livrer. 5. Le brait de ses exploits engage l'empereur Anastase ù le nommer consul. Ibid. Les revers qu'il essuya le rendirent barbare sur la fin de sa vie. Ibid.

 

CLOVIS II, fils de Dagobert, réunit l'Austrasie à la France. 9.

 

CLOVIS III, meurt après un règne de quatre ans. 12.

 

COLIGNY (Gaspard de), amiral de France, forme le parti protestant. 486. Le meurtre du duc de Guise, dont il est accusé d'être l'instigateur, le rend extraordinairement odieux. 546. Ses ressources et son grand cœur relèvent le parti des protestants, abattu par la mort de Condé. 591. Vives inquiétudes qu'il éprouve. 595. Tout autre y eût succombé, mais c'était dans ces rencontres que son courage se relevait le plus. 596. Après la bataille de Moncontour, sa seule fermeté empoche le parti de désespérer, elles restes de l'armée de se rendre au roi. 601. Sa fierté lui fait refuser des conditions avantageuses, et la trêve que le roi demande. 605. Admiration que cause sa conduite. 606. La reine qui le crait invincible dans la guerre, ne trouve plus le moyen de le perdre que par la poix. Ibid. Avantage que cette paix procure aux protestants. 607. Il est attiré à la Cour par les propositions favorables de Charles IX. 614. Son entrevue avec ce prince. Ibid Assassiné par son ordre, il demande à lui révéler un secret important pour l'Etat 620. Sa mort. 624.

 

COLOMB (Christophe) découvre le Nouveau-Monde, elle soumet au roi d'Espagne. 350.

 

CONDÉ (Louis de Bourbon, prince de). Le mauvais état de ses affaires, et surtout sa jalousie contre la maison de Guise, fout craindre qu'il ne se mette à la tête des protestons. 480, il est attiré à la Cour, et retenu prisonnier. 497. A la veille d'être condamné, il ne montra pas la moindre crainte. 498. Il refuse de sortir de prison, qu'il ne soit justifié. 501. Il se déclare ouvertement chef des

 

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huguenots, et s'empare d'Orléans. 520, 521. Raisons qu'il emploie pour fortifier son parti. 523. Proposition insidieuse qui lui est faite de sortir du royaume. 526. il se met en campagne. Le pillage d'une seule ville fait régner la licence dans son armée. 527. Le traité qu'il fait avec l'Angleterre, rend son parti odieux à tout le royaume. 531. Suite de revers qu’il éprouve. Ibid. et suiv. Il est fait prisonnier. 538. Il consent à un traité de paix. 545. Ses débauches peu convenables au chef du parti qui se disait réformé. 546. Sur l'appréhension des maux qui menacent sou parti, il tente de se saisir de la personne du Roi. 567. Il recommence la guerre. 568. Il se fortifie de l'alliance des princes allemands. 573. Il perd la bataille de Jarnac et la vie. 589. Réflexions sur sa conduite. 590.

 

CONSTANTINOPLE. Translation de l'empire de Constantinople entre les mains des Français. 68 et suiv. Cette ville tombe au pouvoir des Turcs. (Voy. Mahomet II.)

 

DAGOBERT I. Contrariétés de sa conduite, 8. Il bâtit le monastère de Saint-Denis. 9.

 

DAGOBERT II, est envoyé en Irlande par la perfidie de Grimoalde. 10. Il en est rappelé et mis sur le trône. 11.

 

DAGOBERT III, lève une armée à la sollicitation des seigneurs du royaume, avec laquelle il défait les Austrasiens. Sa victoire ne lui fut d'aucun fruit. 12.

 

DUNOIS (Jean d'Orléans, comte de), rend par ses victoires la France à ses rois légitimes. 174 et suiv. Voy. Charles VII.

 

E

 

EBROIN, maire du palais sous Clovis II, élève sur le trône Thierry. Il est pris et renfermé dans un couvent. 10, 11. Il en sort. Moyen qu'il prend pour soumettre Thierry à ses volontés. Ibid. Est tué par Hermenfroy. 12.

 

EDOUARD III, roi d’Angleterre, forme des prétentions sur le royaume de France. 97. Rend hommage à Philippe de Valois. 98. Lui déclare la guerre, attire dans son parti différons princes. 99 et suiv. Gagne les batailles de l'Ecluse, et de Crécy; pénètre dans la Bretagne et la Normandie; se rend maître de Calais. 100, 106.

 

ELISABETH, reine d'Angleterre, est déterminée par son intérêt à embrasser la religion protestante. 474. Envoie du secours aux-protestants de France. 595.

 

ENGHIEN (Français de Bourbon, duc d'), gagne la bataille de Cérisoles. 433 et suiv. Mort malheureuse de ce jeune prince. Ses grandes qualités le rendaient également cher aux Français et aux étrangers. 442.

 

ETIENNE II, pape, sacre Pépin, Bertrude et leurs fils pour régner sur la France. 19. Appelle à son secours Pépin contre Astolphe, roi des Lombards.

 

EUDES, duc d'Aquitaine, appelle à son secours les Sarrasins contre Charles-Martel. 16. Il est obligé d'implorer le secours de ce dernier contre Abderame, qui s'était emparé de ses Etats. Ibid.

 

EUDES ( le comte), fils de Robert le Fort, est élu roi des Français. Il partage avec Charles, fils de Louis le Bègue, son royaume. 88. En mourant, il le lui rend en entier. Ibid.

 

653

 

EUSTACHE DE SAINT-PIERRE se dévoue à la mort pour le salut de Calais, sa patrie. 105.

 

F

 

FLANDRE. Cette province est déchirée par des factions. Quelle en fut lu cause. 124 et suiv. 129 et suiv. 138, 363 et suiv.

 

FOIX. Voy. Gaston.

 

FOULQUES de Neuilly reçoit du pape Innocent III l'ordre de prêcher la croisade. 62.

 

FRANÇOIS I, roi de France, poursuit les projets de Louis XII contre l'Italie. 310. Ses négociations à cet effet. Ibid. Le besoin d'argent rengage à vendre les charges de judicature. 812. Il s'avance vers l'Italie, passe les Alpes, fait un accord avec les Suisses; leur infidélité à leurs promesses le rend inutile. 314. Gagne contre eux la bataille de Marignan. Ibid. Fait son entrée dans Milan; conclut le Concordat avec le Pape. 316 et suiv. Causes des longs démêlés qu'il devait avoir avec Charles V. 320, 322. Il arme contre ce prince. 324. Ses affaires se dérangent en Italie. 326. Attaqué par cent endroits différons, Il soutient la partie avec des succès mêlés de quelques revers. 327 et suiv. Embarras qu'il éprouve à la nouvelle de la défection du connétable de Bourbon. 341. Il fait passer une armée en Italie, et se trouve en grand péril dans plusieurs parties de la France. 344. Il se détermine à passer lui-même en Italie 347. Sa confiance lui fait perdre la bataille de Pavie et la liberté. 354. Consternation que ce malheur répand en France; mesures qu'on prend pour garantir le royaume des dangers qui le menacent. 866. Rendu à la liberté, ce prince proteste contre les conditions injustes qui lui étaient imposées, et forme une nouvelle ligue contre l'Empereur. 365, 372. De nouvelles tentatives en Italie, à la fin malheureuses. 378. Il est réduit, moins par le malheur de ses affaires que par le désir de revoir ses enfants laissés en otage à la cour d'Espagne, d'abandonner ses alliés. 381, 382. Il se joint au rot d'Angleterre et aux princes luthériens contre l'Empereur. 386. S'oppose avec vigueur au progrès de l'hérésie de Luther en France. 397. Il est engagé dans une nouvelle guerre contre l'Empereur. 399 et suiv. Chagrin qu'il éprouve. 411. Sages mesures qu'il prend pour s'opposer aux entreprises de ses ennemis contre la France. 412. Il prend un parti qu'on n'aurait pas attendu de son courage, 418. Les plaintes qu'il porte contre l'empereur n'ayant pas été écoutées, il lai déclare h guerre, il reprend le dessein d'exciter les Turcs contre ce prince. 430. Il soutient la guerre contre l'Empereur et le roi d'Angleterre. 436. La paix avec l'Empereur, lui fait tourner ses projets contre l'Angleterre. 439. Des nouvelles affligeantes altèrent sa santé. 443. Il meurt, après un règne de trente-trois ans Jugement sur ce prince. Ibid.

 

FRANÇOIS II Tout ce qui fait appréhender de grands troubles dans un Etat, se trouve ensemble sous son règne. 479. Sa mort à l'âge de dix-huit ans. 499.

 

FREDÉGONDE épouse Chilpéric Ses cruautés. 6. Elle gouverne le royaume pendant la minorité de son fils. 7.

 

G

 

GASTON de Foix, duc de Nemours, reçoit le commandement des armées françaises en Italie. 303. Ses succès. 804 et suiv. Sa mort. Ibid.

 

654

 

GASTON PHOEBUS, comte de Foix, est visité par Charles VI, attiré par sa grande réputation. 144. Malheurs qu'il éprouve dans sa famille. 145.

 

GERSON (Jean), chancelier de l'Université de Parts, prononce l'oraison funèbre du duc d'Orléans. 169.

 

GODEFROY de Bouillon, obtient le commandement de deux armées envoyées contre les Sarrasins. 48. Ses victoires. Ibid. Elu roi de Jérusalem, il refuse d'être couronné en roi, où son maître avait été couronné d'épines. Ibid. Il était seul capable de soutenir les affaires des chrétiens de la Palestine. 49.

 

GONSALVE, dit le Grand Capitaine, reçoit le commandement des armées de Ferdinand en Italie. 273.

 

GRIS (Jacques le). Voy. Carrouge.

 

GUESCLIN (Bertrand du) défait les Gascons, perd la bataille d'Auray, est fait deux fois prisonnier. 114, 115 et suiv. Il obtient sa liberté par adresse. 116. Est fait connétable. 119. Détruit insensiblement l'armée des Anglais. Ibid. Soumet le Poitou et la Bretagne. 121. Il meurt peu après, et il est enterré à Saint-Denis auprès des rois. 127.

 

GUILLAUME le Conquérant se rend maître de l'Angleterre. 47. Cause de la guerre qu'il porte en France. Ibid.

 

GUISE (François, duc de), se charge de défendre Metz contre l'empereur Charles V. 457. Il fait autant louer son humanité, qu'admirer sa valeur. Ibid. Toute la France, et le roi même, regardent ce prince comme leur unique espérance. 469. Il prend Calais, en peu de jours. 470. Il s'empare de toutes les dignités de l'Etat. 481 et suiv. Haine qu'il s'attire de la part des Français. 494 et suiv. Il obtient d'être déclaré lieutenant-général du royaume. 488. Reçoit le titre de Conservateur de la Pairie. 4 91.11 sollicite la mort du roi de Navarre et du prince de Condé. 497. Se réconcilie avec Condé, et attire à son parti le roi de Navarre. 514. Une de ses paroles devient pour les huguenots le signal de la guerre. 517. Il est reçu dans Paris avec des honneurs qu'on ne rend qu'au souverain. 518. Se retire de la Cour, pour obliger Condé à déposer les armes. 523 et suiv. Il commence la guerre contre les protestants. 527. Sa conduite ne donne pas moins de réputation aux armes du roi. que sa valeur. 529. Conseille le siège de Rouen, qu'il prend de force. Ibid. Gagne sur Condé la bataille de Dreux, elle l'ait prisonnier. 530. Paroles mémorables de ce prince. 541. Il meurt assassiné, et laisse en mourant un exemple mémorable de piété et de constance. 542. Haine que cet assassinat attire aux huguenots. 843.

 

H

 

HENRI I. roi de France, est forcé par ses frères de se réfugier en Normandie. 46. Il soumet ses ennemis, et règne assez paisiblement. Sa mort. 47.

 

HENRI II. Intrigues de cour qui signalent le commencement de son règne. 444. Il en vient aux extrémités pour s'opposer aux progrès de la secte de Luther. 448 et suiv. Révolte de In Guyenne et des provinces voisines. 448. Il soutient l'Ecosse contre les Anglais, et procure également les avantages de la France, et ceux de ses alliés. 451. S'engage à la guerre contre l'Empereur 452. Ses conquêtes coûtent cher à la France. 455 et suiv. Il poursuit ses projets en Italie. 4 66, 467. Dans le pressant danger qui le menace, ce prince éprouve que rien ne peut égaler le zèle des Français pour leur roi et pour leur patrie. 471 et 474. Il

 

655

 

prend deux grandes résolutions. 476. Le royaume n'ayant rien à craindre au dehors, il songe à prévenir les partis qui pouvaient se former au dedans. 477. Son premier acte de sévérité contre les protestants. lbid. Sa mort malheureuse remue toute la Cour, et la remplit de sourdes pratiques. 477 et 478. Jugement sur le règne et les qualités de ce prince. 479.

 

HENRI III. Etant encore duc d'Anjou, il gagne tous les cœurs. 564. Cause de vives alarmes au parti protestant par son intrépidité. Ibid. Ses discours obligeants et ses exemples soutiennent les soldais. 586. Bat le prince de Condé à Jarnac 589. Joie que cause cette victoire. Ibid. Défait les huguenots à Moncontour. 598. Fruits de cette victoire rendus inutiles. 600. Il croit avoir acquis assez de gloire, et ne songe plus qu'aux plaisirs. 609. Il est élu roi de Pologne. 633. Raisons qui lui font différer d'aller prendre possession de son royaume. 635. Son départ de la France enfle le courage des huguenots. 636. Il gagne le cœur de ses sujets. 688. Il perd insensiblement l'estime des grands seigneurs du royaume. 639. Charles IX avait souvent dit que quand il serait en place, le faible de ce prince paraîtrait, et qu'on verrait évanouir sa gloire. 643.

 

HENRI IV ; n'étant encore que prince de Navarre, sa vivacité donne beaucoup d'espérance. 548. Il est déclaré chef de l'armée protestante. 591. Epouse la princesse Marguerite. 618. Abjure la religion protestante, par crainte de la mort. 635

 

HENRI V, roi d'Angleterre, fait demande à Charles VI de toutes les terres que les Anglais avaient possédées en France. 168. Gagne contre les Français la bataille d'Azincourt. Ibid. Poursuit ses succès; est fait régent du royaume de France, et reconnu successeur de Charles VI. Sa mort. 170.

 

HENRI VI se fait couronner roi de France. 177. Guerre malheureuse qu'il est obligé de soutenir contrôle duc d'Yorck. 186. Il se relire en Ecosse, d'où il est ramené prisonnier pour la seconde fois. 196.

 

HENRI VIII tente de faire dissoudre son mariage avec Catherine d'Aragon. 380. Les sujets de plainte qu'il croit avoir contre le Pape lui rendent les Luthériens moins odieux. 380. Il fait déclarer nul son mariage avec Catherine, et épouse Anne de Boulen. 392. Il se sépare de l'Eglise. 394, 395. Son schisme, et ses cruautés pour le maintenir, brouillent tout son royaume. 417. Se joint avec l'Empereur contre la France. Sa mort. 442. Jugement sur ce prince. Ibid.

 

HOPITAL (Michel de l') est fait chancelier de France. 490. Détourne Catherine de Médicis de consentir à l'arrêt de mort contre le roi de Navarre et le prince de Condé. 498. Veut qu'on use de douceur envers les protestants. 509. Sa sagesse, sa probité, son grand savoir sent nécessaires au roi, et servent à affermir son crédit. 547. Il s'occupe à faire des règlements utiles au bien du royaume. 550. Desservi dans l'esprit du roi, il se retire des affaires. 581. Sa mort.

 

HUGUES le Grand reçoit en souveraineté le pays situé entre la Seine et la Loire. 37. Fuit et défait les rois à son gré. Sa puissance se soutient contre les efforts faits pour la détruire. 41, 42.

 

HUGUES (surnommé Capet), fils du précédent, surpasse son père en richesse et eu puissance. 42. Sa victoire sur Othon, roi d'Allemagne. 43. Il est fait roi de France, à l'exclusion de Charles, frère de Lothaire. Ibid. Observations par l'élévation de Hugues-Capet au trône. 44. Il soutient son autorité plutôt par adresse et par prudence que par force et par empire. 45. Il meurt après dix ans de règne.

HUMBERT, dauphin du Viennois, donne le Dauphine au roi de France. 106.

 

I

 

INQUISITION. Elle est établie dans les Pays-Bas, et y cause des troubles fâcheux. 562 et suiv.

 

J

 

JACQUERIE (la). Faction des paysans qui désolent la France: ils sont dissipés. 111 et suiv.

 

JEAN I meurt après huit jours de règne. 95.

 

JEAN II perd, par une téméraire confiance, la bataille de Poitiers, 108. Est fait prisonnier. 109. Achète sa liberté par la cession de plusieurs provinces. 113. Repasse et meurt en Angleterre. 114. Parole admirable de ce prince. 115.

 

JEAN, dit Sans-Peur, duc de Bourgogne. Son caractère. 155. Il s'oppose au duc d'Orléans. 156. Le fait assassiner. 157. Veut justifier son attentat. Ibid. et suiv. Son accommodement. 158. Il est poursuivi de nouveau. 162. On lui fait la guerre. 163. Il veut se rendre maître du roi et des affaires. 166. Il entre à Paris. 168. Il est assassiné. 170.

 

JÉSUITES. Leurs démêlés avec l'Université sont soumis au parlement. Cette compagnie est reçue en France, comme ont accoutumé les établissements extraordinaires, avec beaucoup de zèle d'un côté, et de contradiction de l'autre. 557. JUIFS. Ils sont vivement persécutés sous le règne de Philippe v. 95, 96. JULES II, pape. Par quels moyens il obtient la papauté. 287. Sa conduite pour recouvrer quelques villes. 288, 292, 295 et suiv. Il n'oublie rien pour susciter des ennemis à la France. 297. Il prend lui-même les armes: s'étant rendu maître d'une ville, il y entre par la brèche. 300. Chagrins qu'il éprouve. 302. Pressé par les Français, il forme une ligue contre eux, et s'occupe de rendre nul le projet de sa déposition. Ibid. Sa conduite dans le concile de Latran. 306. II formait les plus vastes desseins quand la mort l'arrêta. 307.

 

L

 

LANGEY (Guillaume du Belley, seigneur de) rend les services les plus importons à la France, par son habileté dans les négociations dont il est chargé, et par la sagesse de ses conseils. (Voy. le règne de François I.) La pauvreté d'un serviteur si utile est une tache dans le règne de ce prince. 429.

 

LEON X est fait pape par la brigue des jeunes cardinaux. 307. Se repent des conditions auxquelles il a fait la paix avec François I. 316. Il a avec ce roi une entrevue : avantages qu'il en espère. 317. Il fait un traité avec lui contre l'empereur Charles V. 823. Recherche les occasions de le rompre. 327. Il se ligue avec les ennemis de François I. Sa mort laisse les affaires de la ligue en mauvais état. 331.

 

LOIS SALIQUES, ainsi nommées du nom des Saliens. Ce qu'elles réglaient touchant les successions. 1. Elles furent corrigées par Clovis, en ce qui était contraire à la religion chrétienne, et rédigées en un seul corps sous le règne de ses fils. 5, 6.

 

LORRAINE (le cardinal de) est employé dans diverses négociations, et occupe, avec le duc de Guise, les premières dignités de l'Etat. [Voy. les règnes de

 

657

 

François II et Charles IX.) Il propose une conférence, par laquelle il espérait ramener les protestons à l'amiable. 509. Les gens sages désapprouvent ce dessein: par quels motifs. Ibid. Il va au concile de Trente avec des desseins dignes d'un si grand prélat. 540.

 

LOTHAIRE, fils de Louis I, est associé par son père à l'empire. 49. Il arme contre son père. Suites de sa révolte. Ibid. Il perd contre ses frères la bataille de Fontenai, et une partie de ses Etats. 31. Il se retire dans un monastère. 32.

 

LOTHAIRE, fils de Louis IV, est mis sur le trône par Hugues-le-Grand. Sa mort. 42.

LOUIS I, dit le Débonnaire, associe son fils Lothaire à l'empire. 28. Mores qu'il prend pour entretenir la concorde entre ses enfants. 29. Poursuivi par Lothaire révolté contre lui, il entre dans un monastère, qu'il quitte bientôt pour remonter sur le trône. Ibid. Il meurt tandis qu'il est dans la malheureuse occupation de réduire ses enfants révoltés. 29, 30.

 

LOUIS II, dit le Bègue, meurt empoisonné après un règne de deux ans. 35.

 

LOUIS III est nommé et reconnu pour roi par les seigneurs, au détriment du véritable successeur de Louis II. 35. Il s'oppose aux Normands qu'il met en déroute. Sa mort. 36.

 

LOUIS IV est appelé au trône par Hugues le Grand. Il tombe au pouvoir des Normands. Sa mort. 41, 42.

 

LOUIS V est reconnu roi par les grands de l'Etat, et meurt empoisonné après un règne fort court. 43, 44.

 

LOUIS VI, dit le Gros. Ses démêlés avec le roi d'Angleterre. Il soutient ses prétentions par les armes : jugement sur ce prince. Sa mort. 50, 51.

 

LOUIS VII, dit le Jeune, affranchit les communes. Avantages qu’il en espère. 51. Il prend la résolution d'aller secourir les Chrétiens de la Palestine. 52. Mauvais succès de son entreprise. Ibid. Il répudie sa femme. Ibid. Fâcheuses suites de cette répudiation. Ses qualités. Sa mort. 53.

 

LOUIS VIII ordonne au roi d'Angleterre de quitter les pays qu'il possède en France. Ses conquêtes, ses belles qualités. Sa mort. 65 et suiv.

 

LOUIS IX (saint) est mis sous la tutelle de Blanche, sa mère. 65. Preuve qu'il donne de son courage étant encore enfant. 66. Son horreur pour le péché. Son attention à maintenir le respect dû à la religion, et à rendre la justice. 69. Sa grande sagesse, sa douceur, sa fermeté. Ibid. II refuse l'offre qui est faite de l'empire à son frère Robert : paroles nobles qu'il prononce à ce sujet. Ibid. Obligé à la guerre, sa valeur imprime de la crainte ù ses ennemis, et les réduit à la soumission. 71. Il fait vœu de porter les armes contre les Sarrasins. Ibid. Ses premiers efforts sont couronnés des plus heureux succès. Son attention à en attribuer à Dieu toute la gloire. 73. Il se trouve réduit à la dernière extrémité par les divers fléaux qui affligent son armée, et obligé de se constituer prisonnier des Sarrasins. 74. Sa fermeté et sa résignation dans ses malheurs. Ibid. Il retourne en France, il allie la pratique des vertus chrétiennes avec les devoirs et les convenances de la royauté. 77. Son zèle pour la religion. Ibid. Franchise de sa politique. Ibid. L'amour de la paix le porte à négocier avec le roi d'Angleterre. 78. Après avoir pourvu à la tranquillité de ses Etats, il porte la guerre en Afrique. Sa mort. Ibid. Tableau des vertus de ce saint roi; préceptes admirables qu’il laisse à ses enfants. 79 et suiv.

 

LOUIS X, dit Hutin, meurt après deux ans de règne. 94, 95.

 

658

 

LOUIS XI, n'étant encore que dauphin, se révolte contre son père. 179. Il rentre dans le devoir. 180. Il se retire auprès da duc de Bourgogne. 190. Commencement de son règne. Il songe à retirer les places cédées par divers traités; 196. Il excite le mécontentement de ses principaux seigneurs. 198. Moyens divers qu'il prend pour résister à ses ennemis. 198 et suiv. Obligé de consentir à des conditions peu favorables, il profite habilement des circonstances. 202 et suiv. Il est arrêté prisonnier par le duc de Bourgogne. 204. Rachète sa liberté par un traité honteux. Déclare la guerre à ce prince. 208 et suiv. Il est accusé d'avoir empoisonné son frère. Ses différentes négociations avec ses ennemis. 209 et soir. Ses inquiétudes. 214. Il détourne par son adresse les maux qui le menacent. 215 et suiv. Il établit dans son royaume les postes, si utiles au bien public. 227. Il songe à se rendre maître de tous les Etats de la maison de Bourgogne. 228. Moyens qu’il emploie à cet effet. 229 et suiv. Il s'occupe d'abréger les formalités dans les procès, et à établir l'uniformité des poids et mesures dans son royaume. 235. Il donne à son fils de sages conseils. 236. Etrange conduite qu'il tient dans sa maladie. 237 et suiv. Il attire auprès de lui saint Français de Paule, espérant recouvrer la santé par ses prières. 239. Circonstances intéressantes qui précédèrent sa mort. 241 et suiv. Jugement sur ce prince. 242.

 

LOUIS XII, n'étant encore que duc d'Orléans, cherche à soulever le peuple contre Charles VIII. 243. Se retire en Bretagne. 244. Est fait prisonnier. 247. Obtient le commandement de la flotte dans l'expédition d'Italie. (Voy. Charles VIII.) La mort du dauphin lui ouvre le chemin du trône. 271. Parole mémorable de ce prince quand il y fut parvenu. 276. Il s'occupe da soulagement de ses peuples. Moyens qu'il met en œuvre. Ibid. Il songe à recouvrer le royaume de Naples. 277. S'empare du duché de Milan. 279. Obtient le royaume de Naples par échange avec le duché d'Anjou. 282. Difficultés qu'il éprouve au sujet de l'investiture de ce royaume, avec l'empereur. Ibid. Différends plus considérables avec le roi d'Espagne. 283. Il forme une ligue contre les Vénitiens. 295. Obligé à la guerre contre le Pape, il tente tous les moyens d'y mettre fin. 302. Il perd en an moment tout ce qu'il avait possédé en Italie, 305. Quelques provinces de France sont menacées. 308. Il se marie dans sa vieillesse, et meurt au milieu des pensées de guerre. 310. L'amour qu'il avait pour son peuple lui mérite le nom de Père de la Patrie, de Bon Roi, et de Père du Peuple. 289, 310.

 

LOUIS, duc d'Orléans, frère de Charles VI, veut gouverner l'Etat : 6e brouille avec le duc de Bourgogne. 155. Il fait la guerre en Guyenne. 156. Il est assassiné. 157. Voy. Jean dit Sans-Peur.

 

LOUIS, roi de Germanie, se ligue avec Charles le Chauve contre Lothaire. 30. Causes de leur désunion 31.

 

LUTHER (Martin), moine Augustin, cause de grands mouvements en Allemagne. 323. Quelle en fat l'occasion. Ibid. L'Allemagne se voit menacée de guerres sanglantes par sa secte. 324,

 

M

 

MAHOMET. Tableau de la religion qu'il établit. Ses succès. 18. MAHOMET II s'empare de Constantinople, et y établit le siège de son empire. 189. Reçoit un échec devant Rhodes. 238. MAURES. Ils sont chassés d'Espagne. 350.

 

659

 

MARIE STUART, reine d'Ecosse, s'attire la haine de ses sujets. 564. Elle est réduite à l'extrémité. 583.

 

MÉDICIS (Catherine de), reine de France, croit devoir ménager les protestants, et tâcher de se concilier leur affection. 492. La mort de François II, et le besoin de s'assurer la régence, la porte à favoriser les Guises. 500 et suiv. Elle flotte de nouveau, selon les circonstances, entre les deux partis. 510. Reproches que sa conduite lui attire. 513. Embarras qu'elle éprouve. 519. Elle entre de bonne foi dans les desseins des Guises contre les huguenots. 530. Trois projets qu'elle médite. 547. Elle propose le massacre de la Saint-Barthélemy, et met fin aux irrésolutions de son fils. 619. Est accusée de l'avoir empoisonné. 637. S'assure de la personne de ses principaux ennemis. 643.

 

MÉROVÉE, fils de Clodion, s'unit avec Aétius, et Théodoric roi des Vïsigoths, contre Attila. 2. Il affermit sa domination dans la Germanie et la Belgique. Sa mort. 3.

MONFORT (Simon, comte de), est nommé chef de la croisade contre les Albigeois. Ses victoires, sa mort. 61. Paroles admirables qui font connaître la riva-cité de sa foi. 78.

 

MONTGOMMERY (Gabriel de Lorge, comte de). Il cause la mort de Henri II, dans un tournais. 477. Est appelé par les protestants du Béarn, pour s'opposer à Terride, chef des catholiques. 592. Il réduit en peu de jours ce pays. 593. Echappé au massacre de la Saint-Barthélemy, il passe en Angleterre pour y solliciter du secours. 629. Est sacrifié à la vengeance de Catherine de Médicis, qui ne lui pardonne pas d'avoir été la cause de la mort de son époux. 644.

 

MONTLUC (Jean de), d'abord Jacobin, quitte son ordre, accepte l'évêché de Valence, quoiqu'il suivit les opinions de Calvin. 430. Il est chargé de quelques négociations. Ibid. Il se signale par ses invectives contre Rome et le clergé, et ne rougit point de se marier étant évêque. Ibid. Il négocie avec succès en Pologne, dont il assure la couronne au duc d'Anjou. 633.

 

MONTMORENCY (Anne de), connétable de France, est le premier gentilhomme qui ait eu l'honneur de l'érection de sa terre en duché et pairie. 454. Obtient divers commandements dans les armées. (Voy. les règnes de François I et suiv.) Meurt en combattant contre les protestants. 571. Quoique presque toujours malheureux, il passe pour un des pins grands hommes de son siècle. Ibid.

 

N

 

NORMANDS. Leurs ravages en France. 32, 36, 38.

 

O

 

ORANGE (le prince d’). Persécuté pour cause de religion, remue tonte l'Allemagne. 578. ORLÉANS, voy. Louis.

 

P

 

PARISIENS (les) se mutinent contre le Dauphin, pendant la captivité du rat Jean. 110. Leur soumission. Ibid. Ils se révoltent derechef. 114 et sait. PAUL III, de la maison de Farnèse, est élu pope. 396. Une des raisons de

 

660

 

l’élire est le zèle qu'il avait toujours témoigné pour la tenue d'un concile. 396. Il meurt avec un regret extrême de s'être tant tourmenté pour sa maison. 450.

 

PÉPIN, maire du palais. Après la mort de Dagobert, gouverne la France sous le nom de prince. 12.

 

PÉPIN, dit le Bref, fils de Charles-Martel, veut se faire roi de France : il avait à combattre l'amour naturel des Français pour leurs rois. Moyens qu’il met en usage pour parvenir au trône. 18. Action courageuse par laquelle il se concilie les esprits. Ibid. Portrait de ce prince. 19, 20.

 

PETIT (Jean), docteur en théologie de Paris, entreprend de justifier l'assassinat du duc d'Orléans, 157.

 

PHARAMOND, fils de Marcomir, élu premier roi des Français. 1.

 

PHILIPPE II, surnommé Auguste. Heureux commencements de son règne 53, 54. Il se ligue avec Richard, roi d'Angleterre, et le roi de Castille, pour l'expédition des croisades. Ibid. Il retourne en France après quelques succès. 55. Cause des longues guerres qu'il soutint contre l'Angleterre. Ibid. Fierté de sa conduite envers le roi d'Angleterre. 56 et suiv. Il réunit le duché de Normandie à la couronne, avec quelques autres provinces. Ibid. Il gagne sur Othon la bataille de Bouvines. 60. Refuse l'offre qui lui est faite des villes conquises sur les Albigeois. 62. Sa mort ; ses qualités. Ibid.

 

PHILIPPE III, dit le Hardi, passe d'Afrique en France, après avoir pourvu aux intérêts des Chrétiens. 82. Il porte la guerre en Espagne; quel en fut le motif. 83, 86. Sa mort. 87.

 

PHILIPPE IV, dit le Bel, entreprend la guerre contre le roi d'Angleterre. 87. Ses succès en Guyenne et en Flandre. 88, 89. Ses démêlés avec Boniface VIII. Fierté de sa conduite. 90, 91. Il provoque la condamnation des Templiers. 92, 9 8. Motifs des séditions et des révoltes qu'il éprouve de la part de ses sujets. 93. Sa mort, 94.

 

PHILIPPE V, dit le Long, fait la paix avec les Flamands. 94. Une peste horrible ravage la France sous son règne. 96.

 

PHILIPPE VI, de Valois, reçoit l'hommage du roi d'Angleterre : se prépare à une expédition contre les Infidèles. 98 et suiv. Son règne est la première époque des plus grands dangers qui aient menacé la monarchie. Quelles en furent les causes et les suites. 99 et suiv. Sa mort. 105, 107.

 

Pie V (saint) est élevé à la papauté par les soins de saint Charles Borromée. 560. Il excite de toute sa force le zèle des princes chrétiens contre les Turcs. 609. Sa mort. 617.

 

PIERRE l'Hermite prêche la Croisade; conduit une année, qui est taillée en pièce à par les Sarrasins. 47, 48.

 

PILES, l'un des plus voilions et des plus sages capitaines des huguenots, détend avec vigueur Saint-Jean-d'Angély contre l'armée royale. 601. Il emploie la fourberie où la force lui manque. 602.

 

POISSY, Colloque tenu dans cette ville entre les catholiques et les protestants. (voy. LORRAINE.) Son ouverture: circonstances qui l'accompagnèrent. 511 et suiv.)

 

POLUS. (le cardinal) est reçu en Angleterre en qualité de légat du saint Siège, 459.

 

661

 

PRAGMATIQUE-SANCTION, procurée par Charles VII, est cassée par Louis XI. 195. Les gens de bien la regardaient comme le fondement de la discipline de l'Eglise gallicane. Ibid. Elle n'est pas entièrement abolie. Ibid. Difficultés à ce sujet, de la part des divers corps. 208.

 

PROTESTANTS (les) se liguent pour défendre leur religion. Ils attirent divers princes à leur parti. 385. Après avoir renversé toute l'Allemagne, ils commencent à troubler la France. 396. obtiennent de Charles V liberté de conscience, jusqu'au jugement rendu par un concile général. 425. Succès de leurs armes contre l'Empereur. 453. Ils veulent profiter des malheurs de la France, pour professer librement leur religion. 473. Ils troublent les Pays-Bas. 475. Ils semblent n'attendre qu'un chef pour se déclarer. 479. Le seul nom de Réformation, qu'ils prennent pour prétexte, leur gagne une grande partie des gens de bien. 489. Ils réclament le concile, bien résolus de n'en reconnaître aucun qui ne décidât à leur fantaisie. Voy. Charles IX, Coligny, Condé, Guise, Henri II, Médicis.

 

PUCELLE d'Orléans, voy. Arc.

 

R

 

RAOUL, duc de Bourgogne, est élevé à la royauté. 39. Principaux événements son règne. 40, 41.

 

RENE, duc de Lorraine, obtient le duché de Bar. 244. Est appelé parles Siciliens pour être leur roi. 248.

 

REINFROI, maire du palais en Neustrie, écarte du trône Thierri, et y place Chilpéric II. 13. Il se ligue avec Chilpéric contre Charles-Martel. Ibid. D'abord victorieux, il est ensuite défait, et obligé de fuir. 14.

 

REMI (saint), baptise Clovis. 5.

 

RICHARD I, roi d'Angleterre, entreprend avec Philippe-Auguste une expédition contre les Sarrasins. 54. Ses prodigieux succès. 55. Il est fait prisonnier i son retour. 56. Sa mort. Ibid.

 

ROBERT, frère d'Eudes, est élevé sur le trône par les seigneurs français. Sa mort. 38.

 

ROBERT, fils de Hugues-Capet, est excommunié, et se soumet avec peine. 45. Il s'empare de la Bourgogne, affaiblit la puissance des seigneurs. 46. Ses qualités. Sa mort. Ibid.

 

RODRIGUE, roi d'Espagne. Son incontinence est cause de l'entrée des Sarrasins en Espagne. (Voy. Sarrasins.) Il est défait par eux et meurt dans sa fuite. 13, 14.

 

ROIS de France. Leur foi toujours pure leur a mérité l'honneur d'être appelés Très-Chrétiens et Fils aînés de l'Eglise ; et comme ils ont été les premiers à recevoir la foi catholique, ils l'ont toujours fidèlement conservée. 5.

 

ROLLON, duc de Normandie, se convertit à la foi chrétienne. 39 RONSARD, gentilhomme vendômois, célèbre par ses poésies, est fait chef de la noblesse catholique dans son pays contre les huguenots. 524.

 

S

 

SARRASINS. Commencement de leur empire, 14. A quelle occasion Ils se répandirent en Espagne. 15. Entrés en France, ils sont vaincus par Charles-Martel, 16.

 

602

 

SAVONAROLE, célèbre prédicateur, annonce l'arrivée des Français en Italie; se joint aux Florentins pour demander à Charles VIII la restitution de la ville de Pise. 259, 265. Est pendu comme un faux prophète et un imposteur. 276.

 

SELIM, empereur des Turcs, attaque la chrétienté avec une terrible violence. Il perd par ses généraux la bataille de Lépante. 615. Tout l'empire Ottoman trembla de cette défaite. Ibid.

 

SICILE. Cause des grands mouvements qu'elle éprouve. 84.

 

SIGEBERT, fils de Dagobert, recommande en mourant son fils à Grimoalde, maire du palais. 9, 10.

 

SIGEBERT, roi de Metz, est assassiné par l'ordre de Frédégonde. 7.

 

SIGISMOND, empereur, travaille à mettre fin au schisme. 165.

 

SOLIMAN II s'empare de Belgrade et de l'île de Rhodes. Des plus belles villes de la Hongrie. 337, 383. Lève le siège de Vienne en Autriche. Ibid. Il revient avec une armée formidable et se retire sans combattre. 388. Il s'unit avec François I contre l'empereur. Sa mort. 560.

 

SUGER, abbé de Saint-Denis, gouverne le royaume pendant l'expédition de Louis VII contre les Sarrasins. 53.

 

T

 

TERRIDE (le vicomte de) est envoyé dans le Béarn, dans le dessein de diviser les forces des protestants. 591, 592. Ses succès. 598. Il est obligé de fuir. Ibid.

 

THIERRI I, fils de Clovis, et né d'une concubine, est désigne roi de Metz. 6.

 

THIERRI II, fils de Clovis II, est porté sur le trône par les intrigues d'Ebroin ; en est renversé, et obligé de se faire moine. 11. Il est rétabli, dépouillé une seconde fois, et enfin maître de toute la monarchie française. Ibid.

 

THIERRI IV. Est mis sur Je trône par Charles-Martel. 14, 16.

 

TRENTE (le Concile de). Est sollicité comme le seul remède aux maux de l'Eglise et de l'Etat; explique la doctrine catholique d'une manière aussi solide et aussi exacte qu'elle eût jamais été dans aucun concile; il s'y fait de grandes choses pour la réformation. 553. Il n'est pas reçu en France dans ce qui concerne la réformation de la discipline. Ibid.

 

U

 

URBAIN II, pape, anime, dans le concile de Clermont, les princes et les peuples à se croiser contre les Sarrasins. 48.

 

V

 

VASSY. Le massacre des huguenots dans cette ville devient le signal de la guerre entre eux et les catholiques. 517.

 

VITIKIND, roi des Saxons, se fait chrétien, étant touché de la générosité de Charlemagne. 24, 25.

 

Z

 

ZACHARIE, pape, conseille aux Français d’obéir à Pépin, et d'abandonner

 

 

TABLE.

 

Remarques Historiques.......I

Livre premier.......1

Pharamond.......1

Clodion le Chevelu.......2

Mérovée.......2

Childéric I.......3

Clovis I.......3

Thierri, Childebert I, Clotaire I, Clodomir....... 6

Chilpéric I, Cherebert, Gontran, Sigebert.......6

Clotaire II.......7

Dagobert I.......8

Sigebert, Clovis II.......9

Clotaire III.......10

Childéric II.......11

Thierri III, Dagobert II.......11

Pépin, maire du palais.......12

Clovis III; Childebert III.......12

Dagobert III.......12

Daniel, ou Chilpéric II.......13

Thierri IV, dit de Chelles.......14

Childéric III.......17

 

LIVRE SECOND.......18

 

Pépin le Bref.......18

Charles I, dit Charlemagne.......20

Louis I....... 28

Lothaire, empereur; Louis, roi de Germanie; Charles II, dit le Chauve,  empereur....... 30

Louis II, dit le Bègue.......35

 

LIVRE TROISIÈME.......35

 

Louis III et Carloman.......35

Charles III, dit le Gros....... 38

Eudes.......37

Charles IV, dit le Simple.......38

Robert.......38

Raoul.......39

Louis IV, d'Outremer.......41

Lothaire.......42

Louis V, dit le Fainéant.......43

 

LIVRE QUATRIÈME.......44

 

Hugues Capet............44

Robert......45

Henri I.......46

Philippe I.......47

Louis VI, dit le Gros.......50

Louis VII, dit le Jeune.......51

Philippe II........53

Louis VIII.......56

 

LIVRE CINQUIÈME.......66

 

Saint Louis IX.......66

 

LIVRE SIXIÈME.......82

 

Philippe III, dit le Hardi.......32

Philippe IV, dit le Bel.......87

Louis X, dit le Hutin.......94

Jean I.......95

Philippe V, dit le Long.......95

Charles IV, dit le Bel.......96

 

LIVRE SEPTIÈME.......98

 

Philippe VI, de Valois.......98

Jean II.......114

 

LIVRE HUITIÈME.......114

 

Charles V, dit le Sage.......114

 

LIVRE NEUVIÈME.......128

 

Charles VI.......128

 

LIVRE DIXIÈME.......143

 

Suite du règne de Charles VI .......143

 

LIVRE ONZIÈME.......172

 

Charles VII.......172

 

LIVRE DOUZIÈME.......194

 

Louis XI.......194

 

LIVRE TREIZIÈME.......243

 

Charles VIII.......243

 

LIVRE QUATORZIÈME.......276

 

Louis .......276

 

LIVRE QUINZIÈME.......310

 

François I.......310

 

LIVRE SEIZIÈME.......444

 

Henri II.......444

François II.......479

 

LIVRE DIX-SEPTIÈME.......499

 

Charles IX.......499

 

Table des matières.......647

 

FIN DE LA TABLE DU VINGT-CINQUIÈME VOLUME.

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