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Table chronologique

 

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N

 

NABUCHODONOSOR II, roi de Babylone, prend une première fois Jérusalem, et transporte à Babylone une partie de ses habitants, XXIV, 284, 418. Il prend Jérusalem pour la seconde fois; détruit le temple, et en donne le trésor au pillage, XXIV, 418. Pendant qu'il admire sa grandeur, Dieu le frappe, lui ôte l'esprit, et le range parmi les bêtes, XXIV, 419, 420.

NAISSANCE. Trois vices de la nôtre, XI, 375. Elle a des marques indubitables de notre commune faiblesse, XII, 695. Une religieuse de grande naissance doit l'oublier, XXVIII, 369, 370. Bossuet préfère pour la vie religieuse les personnes de naissance, XXVIII, 374.

NATHANAEL est amené par saint Philippe à Jésus-Christ, VII, 384.

NATIVITÉ de la sainte Vierge. Sermons pour cette fête, XI, 64, 65 et suiv. Combien elle est glorieuse pour Marie, XI, 93. Elle est, dans sa nativité, un Jésus-Christ ébauché, XI, 67. Celte nativité est la fête des hommes, XI, 121,122. Biens qu'elle nous apporte, XI, 126. Voy. Noël.

NATURE. Ce qu'on entend par ce mot, XIII, 176. Nature innocente et nature corrompue ; différence de ces deux états, d'après les principes donnés sur la liberté, XXIII, 472. Pourquoi le Fils de Dieu s'est revêtu de la nature humaine, X, 410.

NAUMBOURG (assemblée de) par les luthériens, pour convenir de laquelle des quatre éditions de la Confession d'Augsbourg ils se serviraient. La chose demeure indécise, XIV, 345.

NAVARRE. Voy. AZPILCUETA.

NAZZARl (François) savant très-distingué par son érudition et ses écrits, il est le premier auteur du Journal des Savants qui fut entrepris en Italie, à l'imitation de celui qui s'imprimait à Paris. Il est l'auteur de la traduction italienne du livre de l'Exposition : ce qu'il était, XXVI, 191.

NÉANT. Combien absurde qu'il y ait un seul moment où rien ne soit, XXIII, 189. Combien l’âme répugne au néant, XXIII, 248. Le néant est l'origine des créatures, IX, 7. Néant de l'homme, IX, 360; XII, 481.

NÉCESSITÉS de la vie. Avec quels soins paternels la Providence y pourvoit, IX, 293 et suiv.

NÉERCASSEL (Jean de), évêque de Castorie, vicaire apostolique en Hollande, XVVI, 191. Sa lettre à l'abbé de Pontchâteau, au sujet du livre de l'Exposition. Plaisir qu'il a éprouvé à le lire. Il le fait traduire en hollandais, et en ferait une version latine, s'il n'espérait que l'auteur se chargeât lui-même de ce soin, XXVI, 192. Il indique quelques endroits qu'il croit susceptibles d'explication ou de

 

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correction, ibid. Il fait l'éloge de Bossuet, et loue sa bonté, XXVI, 193. Son respect pour l'illustre prélat l'empêche de lui écrire, de peur de lui enlever un moment au milieu de ses utiles travaux, XXVI, 196, 197. Il approuve les explications que Bossuet avait données à certains endroits de son livre, et lui annonce qu'une traduction hollandaise en est achevée, XXVI, 197, 198. Il lui demande la traduction latine de ce livre : qu'il donnera tous ses soins pour qu'elle soit bien imprimée, XXVI, 202. Il compose quatre traités sur le culte des saints, qu'il envoie à Bossuet, XXVI, 198. Ses excuses de ce que la traduction latine de l'Exposition a été si mal imprimée, XXVI, 251, 252. Il offre de faire traduire en hollandais l'Avertissement que Bossuet avait ajouté à son livre dans une nouvelle édition, et désire que cet Avertissement soit traduit en latin par l'abbé Fleury, XXVI, 268. Eloges qu'il fait du Discours sur l'Histoire universelle, soumet à Bossuet ses moyens de faire passer dans le Nord son livre de l'Exposition, l’exhorte à répondre à un livre de Spanheim, et lui annonce le prodigieux débit du livre de Jurieu, intitulé : La politique du Clergé de France, XXVI, 272, 274 et suiv. Sa réfutation par Arnauld. Voy. Arnauld. Il avait composé un petit ouvrage sur l'Amour pénitent, afin de porter les fidèles à entrer dans la voie étroite du salut, XXVI, 3-20. Succès de cet ouvrage en plusieurs pays, XXVI, 323, 324. Il craint les murmures de la pénitencerie romaine contre son livre, au sujet de ce qu'il contient sur l'usage des clefs ; motifs qui le rassurent, XXVI, 324. Bossuet lui demande des renseignements sur un livre intitulé : Traité des Billets, XXVI, 325. Il satisfait à sa demande, et lui explique la coutume des négociants de Hollande sur le prêt, XXVI, 326 et suiv..

NÉGLIGENCE. Ses suites funestes, VIII, 115,116. Combien elle est coupable dans un prince : maux dont elle est la cause, XXIII, 30 et suiv.

NÉHÉMIAS rebâtit Jérusalem, XXIV, 297. Il réforme les abus, XXIV, 299, 424. Son amour pour sa patrie, XXIV, 389, 390. Il soulage le peuple accablé, XXIII, 543, 544. Sa fermeté, XXIII, 572. Ses soins pour le culte de Dieu, XXIV, 67. Il est le modèle des bons gouverneurs, XXIV, 220.

NEMROD est le premier des conquérants, XXIV, 266, 267, 3S0. NERFS. Voy. Corps.

NÉRON, empereur, commence la guerre contre les Juifs, et la persécution contre les chrétiens. Il fait mourir saint Pierre et saint Paul, XXIV, 328, 329, 468. Il se tue lui-même, XXIV, 469. Monstre du genre humain, VIII, 302, 421.

NESMOND (Henri de), évêque de Montauban : son Mémoire sur les moyens de ramener'les nouveaux convertis, XXVII, 18à.

NESTORIUS, patriarche de Constantinople, divise la personne de

 

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Jésus-Christ, XXIV, 347. Il est condamné par le Pape saint Célestin, ensuite par le concile d'Ephèse, XXII, 17, 18 et suiv. Ce concile observa envers lui les formes canoniques, XX, 568. Son erreur allait à nier la divinité de Jésus-Christ, XX, 579. La manière dont il la niait ne pouvait être dissimulée, XX, 581. Et ce n'était point, comme le dit Dupin, une dispute de mots, XX, 583. Pente de l'abbé Dupin à excuser l'hérésiarque et ses partisans, XX, 609, 611, 612 et suiv.

Les nestoriens sont mis par Jurieu au nombre des sociétés vivantes, quoiqu'ils renversassent le fondement de la foi, non directement, selon lui, mais seulement par des conséquences, XV, 280. Leur schisme est le plus ancien dans le christianisme ; ce qui n'empêche pas de les confondre, en leur montrant l'époque de leur rupture, XVII, 97, 98.

NEUSTADT (Christophe Royas de Spinola, évêque de). Ses talents, ses tentatives pour réunir les protestants d'Allemagne. Il reçoit à ce sujet des pleins pouvoirs de l'empereur Léopold, XVII, 358 et suiv. Ce que dit Leibniz de ses négociations, XVIII, 126.

NICAISE (l'abbé), chanoine de la Sainte-Chapelle de Dijon. Bossuet lui écrit au sujet des ouvrages de M. Spon, XXVI, 261, 262. Sur quelques autres écrits, XXVI, 279, 382, 383.

NICÉE (concile de), premier œcuménique. Quelques-uns croient qu'il jugea la question de la rebaptisation, XXI, 66, 67. Ses décrets contre les ariens tirèrent leur force du consentement commun, XXII, 13,14. Osius y préside au nom de saint Sylvestre, ibid. note. Le concile ne demande pas la confirmation du Pape, XXII, 110, 111.

L'addition faite à son symbole par le concile de Constantinople, pour condamner une nouvelle hérésie, qui niait la divinité du Saint-Esprit, n'est pas une variation ; et les protestants ne peuvent s'en autoriser pour défendre les variations de leurs Confessions de foi, XIV, 99. Jurieu prétend que ses idées sur l'Eglise sont les mômes que celles du concile de Nicée, qui, selon lui, ne rejeta pas de la communion de l'Eglise tous les hérétiques ; en quoi il se contredit lui-même, XV, 102, 103. Ce concile a été formé contre les principes du ministre, qui veut que les sectes hérétiques aient voix délibérative dans les conciles, XV, 124. Il croit trouver l'inégalité du Père et du Fils dans ces paroles du Symbole : Dieu de Dieu, lumière de lumière. Les Pères qui avoient assisté à ce concile, ont compris ces paroles tout différemment du ministre, XVI, 48, 49. Il soutient aussi que ce concile a enseigné deux nativités du Verbe. Cette erreur réfutée par saint Athanase, XVI, 52 et suiv. Jurieu fait même admettre aux Pères de Nicée trois nativités du Fils, XVI, 59, 60.

Le second concile de Nicée, septième général, admet après examen les lettres du pape Adrien, XXI, 82 et suiv. ; XXII, 77. Il ne demande

 

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point de confirmation au Pape, XXII, 118. Les François refusent de le recevoir, XXII, 77, 78 et suiv. Voy. Francfort.

NICODÈME. Jésus lui explique la renaissance spirituelle, VI, 396 et suiv.

NICOLAS I (S.), Pape, marque exactement les bornes des deux puissances, dans sa lettre à Michel III. Il n'est point auteur du Canon Omnes cité par Gratien, non plus que Nicolas II, XXI, 264. Il excommunie Lothaire, mais ne parle pas de le déposer, XXI, 336, 337. Réponse peu exacte qu'il donne aux Bulgares touchant le baptême, XXII, 239.

NICOLAS III. Sa bulle Exiit, touchant la règle de saint François, XXII, 246, 247 et suiv.

NICOLAS V reçoit Félix et les évêques du concile de Bâle, comme catholiques, XXI, 711 et suiv.

NICOLE (Pierre). Bossuet aimait à recevoir des marques de son amitié et de son approbation, XXVI, 460. Il priait Dieu qu'il le conservât pour soutenir la cause de son Eglise, dont ses ouvrages lui parois-soient un arsenal, XXVI, 461 .

NINIVE. Sa fondation, XXIV, 266. Sa grandeur, XXIV, 273, 596. Elle est prise et détruite, XXIV, 284. Vivacité de la douleur des Ninivites à la prédication de Jonas, X, 385.

NINUS, fils de Bel, fonde le premier empire des Assyriens, XXIV, 273, 596.

NOAILLES (Louis-Antoine de), évêque de Châlons, puis archevêque de Paris et cardinal. Bossuet se réjouit de sa nomination à l'archevêché de Paris, XXVIII, 255. M. de Noailles approuve le livre des Réflexions morales, m, 306 et suiv. Il y enseigne clairement le contraire des cinq propositions, III, 308. Il est accusé de jansénisme par l'auteur du Problème ecclésiastique, III, 309. Ce que c'était que ce libelle, XXX, 242. Bossuet défend M. de Noailles, III, 309. Il lui envoie une correction pour l'Avertissement sur le livre des Pièflexions morales, et se réjouit de le voir appelé à défendre la doctrine de saint Augustin, XXVII, 85. Bossuet compose pour lui l'Instruction pastorale sur la grâce et la prédestination, V, 463 et suiv. Il envoie cette Instruction à Rome au nom de M. de Noailles, XXIX, 22. Combien il désirait la voir approuvée, XXIX, 23, 24, 30, 33, 40. Le cardinal Casanate en est satisfait, XXIX, 32, 42.

M. de Noailles est chargé d'examiner les écrits de Fénelon et de Madame Guyon sur l'oraison, XX, 101, 102. Il approuve le livre de Bossuet sur les Etats d'oraison, XVIII, 377. Il se déclare avec Bossuet et l'évêque de Chartres contre le livre des Maximes des Saints, XIX, 495 et suiv.; 508 et suiv. Fénelon veut le détacher de Bossuet, XXIX, 74. Lettres de M. de Noailles à l'abbé Bossuet, relativement à l'affaire

 

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du quiétisme, XXIX, 288, 358, 379, 398, 413, 414, 421, 422, 428, 435, 447, 451, 484,497, 524, 532, 541 ; XXX, 4, 30, 38, 51, 61, 78, 107,120, 131, 143, 160, 199, 221, 252, 281, 291, 317, 337, 367, 469. Il est jaloux de l'évêque de Meaux, XXX, 3.

Bossuet le félicite de sa promotion au cardinalat, XXVIII, 109. Ce cardinal préside l'assemblée du clergé de 1700, XXII, 721. L'évêque de Meaux l'engage à défendre l'épiscopat contre l'entreprise du chancelier, XXXI, 63, 70, 79, 80, 83, 84, 85 et suiv. Voy. Bossuet, Fénelon, Guvon, Pontchartrain, Simon.

NOAILLES (duc de), frère du cardinal, commanda dans le Roussillon et fut fait maréchal de France en 1693, XXVI, 339, note. Bossuet le prie de n'être point en peine de certains papiers, ibid. Il se réjouit de voir le duc revenu à la santé, il l'entretient des canons des conciles, ibid. Il prie le duc d'écrire en sa faveur à M. de Naves, XXVI, 340.

NOBLESSE. Elle n'est souvent qu'une pauvreté vaine, ignorante et grossière, oisive, qui se pique de mépriser tout ce qui lui manque, X, 556 et suiv. Quelle est la véritable noblesse, XI, 373, 374. De quelle sorte la noblesse est recommandable, XII, 697 et suiv. Noblesse de l'homme, VIII, 292.

NOÉ, ou le déluge, seconde époque de l'histoire, XXIV, 266. Noé est seul réservé avec sa famille pour la réparation du genre humain, XXIV, 265, 377. Il partage la terre entre ses trois enfants, XXIV, 266. Ses enfants n'épousèrent pas leurs sœurs, comme le dit Jurieu, XIV, 192, 193. De quoi Noé était la figure, VIII, 402.

NOÉL. Elévations sur l'étable et la crèche, VII, 268, 269. L'ange annonce Jésus aux bergers, VII, 270 et suiv. Marques pour le reconnaître, VII, 271, 272. Cantique des anges, VII, 272 et suiv. Commencement de l'Evangile, VII, 274. Les bergers à la crèche, VII, 275, 276. Silence et admiration de Marie, VII, 276,277 et suiv. Instruction sur le mystère de ce jour, V, 152. Ce que nous y honorons, VIII, 195,196 et suiv. Sujets de méditation pour cette fête, XXVII, 419, 598; XXVIII, 106. Sur les trois messes de ce jour, XXVIII, 107. Pensées pieuses sur cette fête, XXVIII, 125, 126. Voy. Jésus-Christ, Sauveur, Verbe.

NOGUIER, ministre protestant, attaque le livre de l'Exposition : il avance que Bossuet adoucit et exténue les dogmes de sa religion, XIII, 2. Il accuse les catholiques d'idolâtrie ; les compare aux manichéens, ariens, etc., XIII, 123.

NOR1S (Henri), cardinal, envoie à Bossuet son Apologie des moines de Scythie, XXVIII, 673. Estime qu'en fait Bossuet, XXVIII, 676. Il le remercie de ce présent, XXVI, 517. Eloges qu'il donne aux dissertations de ce cardinal, XXIX, 3. Il le soupçonne d'un peu de froid à son égard, XXIX, 15. Ce qu'il pense du livre de Fénelon, XXIX, 283. Il est choisi avec le cardinal Ferrari pour présider aux conférences des

 

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examinateurs de ce livre, XXIX, 297. Expédient proposé par ce cardinal pour abréger, XXIX, 454, 455. L'abbé Bossuet le voit pour cette affaire, XXX, 24, 25, 45, 54. Ce cardinal désapprouve les lettres de Fénelon à l'évêque de Chartres, XXX, 74. Comment il s'explique dans les congrégations, XXX, 122. Altercation entre lui et le cardinal de Bouillon, XXX, 268, 269. Il est un des rédacteurs du Bref contre le livre des Maximes, XXX, 277.

NORMANDS. Leurs ravages en France, XXV, 32, 36, 38.

NOURRITURE, y éviter la délicatesse, XXVII, 580. Voy. Corps.

NOUVEAUTÉ. Amour incroyable de la nouveauté; son origine, XI, 177. Ses effets, XI, 178. Quelle nouveauté nous représente l'Eglise dans le mystère du Verbe fait chair, XI, 178, 179, 180,1S5.

NOUVELLES CATHOLIQUES, manière de les instruire, XXVII, 443, 444. La patience et la douceur sont le seul moyen de les gagner, XXVIII, 458. Voy. Catholiques.

NOVATIEN, antipape. Son schisme éteint par le consentement commun, XXI, 96.

NOVICES. Avis pour leur conduite, XXVIII, 229, 271, 366, 368, 369, 476.

Ce qu'il faut pratiquer étant novice, XXVII, 618, 622. NUMA POMPILIUS, roi de Rome, règle les mœurs et la religion, XXIV, 281, 282, 642.

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