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TABLE ANALYTIQUE DES INSTITUTIONS LITURGIQUES  

 

T

 

TAMBURINI (Thomas), jésuite, auteur d'un traité sur le sacrifice de la Messe (S. XVII), II, 96.

 

TETAMO (Ferdinand), prêtre sicilien, compose le Diarium theologico-morale (S. XVIII), II, 578.

 

TAVERNA (François-Joseph), capucin, auteur d'un livre liturgique (S. XVII), II, 99.

 

TERTULLIEN enseigne que Dieu a donné les clefs à Pierre et par lui à l'Église, III, préf., LXV; il marque les heures de la prière canoniale, I, 45 ; les cérémonies du Baptême, des funérailles, 56, 57; donne des détails sur les mœurs de l’Église au III° siècle, 71.

 

THEOCTISTE, archimandrite de Palestine. Ses cantiques en l'honneur des Saints du mois d'avril (S. V), I, 142.

 

THEODORE, archev. de Cantorbéry. Son livre pénitentiel (S. VII), I,  177. 

 

THEODORE, évêque de Mopsueste, donne une nouvelle liturgie (S. V), I, 140.

 

THEODORE STUDITE (saint), archimandrite, auteur d'un grand nombre d'hymnes (S. IX), I, 256.

 

THEODORE LASCARIS II, empereur grec, compose une hymne en l'honneur de la sainte Vierge (S. XIII), I, 340.

 

THEODOSE, évêque de Syracuse, auteur de quelques hymnes (S. VIII), I, 179.

 

THEODULPHE, évêque d'Orléans, auteur de l'hymne : Gloria, laus et honor (S. VIII), 1, 180.

 

THEOLOGIE. La liturgie mise avec raison au nombre des lieux théologiques; pourquoi Melchior Cano n'en parle pas? IV, 353.

 

THEOTGER, chanoine de Saint-Victor de Paris, auteur de plusieurs écrits sur la liturgie; livres qui lui sont faussement attribués (S. XII), I, 307.

 

THIERS (J.-B.), curé de Vibraye au diocèse du Mans. Ses œuvres liturgiques (S. XVII), II, 98.

 

THOMAS (saint) de Cantorbéry. Sa fête remise au mois de juillet dans le bréviaire de Paris, IV, 150.

 

THOMAS, archev. d'York, compose le chant d'un grand nombre d'hymnes (S. XI), I, 303.

 

THOMAS D'AQUIN (saint) compose l'office du Saint-Sacrement et une Exposition de la Messe (S. XIII), I, 334, 340.

 

THOMAS DE BAYEUX, compose des chants pour l'Église (S. XII), I, 311.

 

THOMASSIN (Louis), oratorien, auteur de plusieurs traités liturgiques (S. XVII), II, 106.

 

TILLET (Jean du), évêque de Saint-Brieuc et de Meaux, auteur d'un traité en français sur la Messe (S. XVI), I, 476.

 

TIMOTHÉE II, patriarche des Nestoriens. Son ouvrage de Septem causis Sacramentorum [S. XIV), I, 175.

 

TINTI (Prosper), auteur d'un traité liturgique (S. XVIII), II, 476.

 

TITELMAN (François), franciscain, compose quelques traités liturgiques (S. XVI), 1,472.

 

TOMMASI (le B. Joseph-Marie), théatin, card. Ses œuvres liturgiques (S. XVII), II, 103.

 

TORQUEMADA (Jean de), card., évêque de Sabine, laisse un livre intitulé : De efficacia Aquœ benedictae (S. XVI), I, 377.

 

TOSCANE. Léopold, grand-duc de Toscane, entreprend de donner une nouvelle liturgie à ses États, II, 529; Ricci tient un synode à Pistoie pour favoriser le dessein du prince, 53o et suiv. Léopold consulte les archev. et les évêques sur la réforme religieuse qu'il projette; six évêques répondent dans un sens favorable aux innovations, douze déclarent s'y opposer, 537, 538; le grand-duc convoque une assemblée générale des évêques a Florence, avril 1787; les archev. acceptent la commission de réformer le bréviaire et le missel, 539; mécontentement de Léopold; il publie des édits propres à accroître le scandale; la Révolution française arrête ces innovations et ouvre les yeux du prince, 5-io.

 

TOUR (Jean du), auteur d'un livre liturgique sur les vêtements sacerdotaux (S. XVII), II, 97.

 

TOUSTAIN (D. Ch. François), et TASSIN (D. René-Prosper), bénédictins, auteurs du nouveau traité de diplomatique (S. XVIII), II, 493.

 

TRADITION de l’Église. Dès le temps des Apôtres, la liturgie est du domaine de la tradition, I, 39. La Tradition n'est pas seulement dans les écrits des Pères, mais dans les paroles de la liturgie, I, 3 ; IV, loi; porter atteinte à la liturgie c'est porter la main sur la tradition de l'Église, IV, 335, 336.

Tradition de la théologie catholique. Sa définition; son rôle par rapport à la parole de Dieu écrite, à la doctrine et aux institutions des Apôtres et de l'Église, non contenues dans l'Écriture, IV, 337 ! l’Église conserve infailliblement cette tradition; elle la promulgue, et l'écrit sans lui ôter son caractère de tradition; états de la tradition, définie, professée et conservée, 338, 33o; porter atteinte à la tradition dans ces trois états, serait une faute grave contre l’Église, 340; la liturgie est le principal instrument de la tradition de l'Église. Cette proposition prouvée par l'autorité des théologiens français, IV, 341 ; témoignage de Bossuet, 342, 343, 344; de Fénelon, 344, 343; du cardinal de Noailles, 345 ; de Languet, archevêque de Sens, 346; des auteurs de la Perpétuité de la foi, 348; de Renaudot, 349; de Mabillon, 350 ; de Bergier, 351 ; quels sont les instruments de la tradition de l'église, appelés lieux théologiques; l'autorité de l'Église universelle, 354; de l'Église romaine, 357-36;; des églises particulières, 361-370. L'Eglise reconnaît dans sa pratique que la tradition est contenue dans la liturgie. Elle a puisé souvent dans la liturgie les éléments de ses décisions, IV, 372 ; contre l'arianisme, le nestorianisme, 373; contre le pélagianisme, selon le témoignage de saint Augustin, 374, 375, de saint Célestin, pape; réfutation des assertions de Mgr d'Orléans à propos des paroles de ce Pontife sur l'autorité de la liturgie, 376, 377 ; Bossuet reconnaît dans le texte de saint Célestin, une règle inviolable, 379-381 ; un Concile général condamne les iconoclastes par la pratique de l’Église, exprimée dans ses rites, 382; l'hérésie de Bérenger, confondue par la tradition de l’Église, renfermée dans les secrètes et postcommunions du Missel romain, 382 ; les formules liturgiques de l'office du Saint-Sacrement, rédigées d'après la tradition, condamnent les  blasphèmes du XVI° siècle, 383 ; le Concile de Trente emprunte à la tradition, conservée dans la liturgie, diverses preuves, concernant la nécessité de la prière et l'autorité du Canon de la messe, 383, 384, 385.

Autorité traditionnelle des formules liturgiques du style ecclésiastique. Elles exposent la doctrine des mystères et des sacrements; et sur ces points la théologie s'arrête où la liturgie s'arrête ; les sacrements de la confirmation, de l'ordre,du mariage, renferment des questions non résolues, parce que la liturgie se tait, IV, 393, 394; la liturgie, dépôt de la tradition, garantit les privilèges de Marie; éclaire nos yeux sur le sort des âmes dans l'autre vie; nous apprend à distinguer les docteurs de l'Église, et les livres des saints renfermant la doctrine du salut, 394, 395; elle est le fidèle dépôt de la morale chrétienne par la canonisation et les légendes des saints, 396, 397, 398.

Insuffisance et dangers des principes de Mgr Fayet sur la prière liturgique ; maximes qu'il s'est vu contraint d'enseigner, 409, 410; il faut à cette prière l'autorité de l'Église; elle doit être l'instrument solennel et authentique de la Foi, IV, 410; beaucoup de formules liturgiques ne remontent pas aux temps apostoliques, mais elles font partie du dépôt de la tradition, IV, 411; la tradition est divine comme l'Ecriture, les formules liturgiques ne le sont pas, 411, 412; des Apôtres nous viennent à la fois la tradition divine et la tradition apostolique, 412; la doctrine traditionnelle est dans la foi de l’Église, et repose sur des documents positifs dont le premier est la liturgie, 413; l'Écriture sainte quelquefois impuissante à confondre les novateurs sans le secours de la liturgie, 413, 414 ; arguments du calviniste Basnage contre la valeur dogmatique des formules liturgiques, 414;  la tradition  ne devient tradition écrite que par la suite des siècles sans perdre pour cela rien de sa force, 414, 415. La révélation, qui est la parole de Dieu, est conservée dans l'Écriture et dans la tradition; la liturgie, principal dépôt de la tradition révélée, 416, 417; ce dépôt peut être modifié dans ses formes par l'Église sans l'être jamais dans son essence ; la tradition se montre dans ces modifications intacte, fixe, stable et divine, 419, 420. Les principes de Mgr d'Orléans vont à anéantir tous les monuments de la tradition; ils rendent légitimes les plaintes des hérétiques contre la succession des symboles de foi, 421.

 

TRESVAUX DU FRAVAL, chanoine de Paris, attaque les Institutions liturgiques dans l’Ami de la religion, I, préf., XLVII.

 

TREVETH (Nicolas), dominicain, écrit huit livres de Missa (S. XIV), I, 375.

 

TRINITE. Comment on peut faire remonter à la Sainte-Trinité le principe de la liturgie, IV, 311, 312; étranges paroles de Mgr Fayet à ce sujet, 312, 313.

 

 

TRITHEME (Jean), abbé de Saint-Martin de Spanheim. Ses œuvres liturgiques (S. XV), I, 377.

 

TROMBELLI (Chrysostome), chanoine régulier. Ses œuvres liturgiques (S. XVIII), II, 492.

 

TROPES. Prélude des Séquences, introduits dans la liturgie; une sorte de prologue qui préparait à l’Introït, I, 248, 249; l'origine des tropes remonte au VIII° siècle, 249; le pape Adrien II rétablit dans les monastères l'usage des tropes, que les romains appellent Festivae laudes, 250; texte d'un trope en l'honneur de saint Grégoire, 164; l'Église conserve longtemps l'usage des tropes, 251 ; l'institution des tropes détermine une révolution dans la marche du chant ecclésiastique; la France joue un grand rôle dans cette puissante innovation, 252.

 

 

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