I TIMOTHÉE XI

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HOMÉLIE XI. DE MEME, QUE LES DIACRES SOIENT PUDIQUES, SINCÈRES, QU'ILS NE SOIENT ADONNÉS NI AU VIN, NI A DES PROFITS HONTEUX, ET QU'ILS GARDENT LE MYSTÈRE DE LA FOI DANS UNE CONSCIENCE PURE. QU'ILS SOIENT AUSSI D'ABORD ÉPROUVÉS, PUIS ADMIS A CES FONCTIONS, S'ILS SONT IRRÉPROCHABLES. (III, 8, 9:)

 

Analyse

 

1. Devoirs des diacres.

2 et 3. De l'usage que l'on doit faire des richesses.

 

1. L'apôtre, après avoir traité des évêques et les avoir caractérisés, et énoncé les qualités qu'ils doivent avoir et ce dont ils doivent être exempts, passe sous silence l'ordre des prêtres et arrive immédiatement aux diacres. Pourquoi cela? C'est qu'entre les évêques et les prêtres la différence n'est pas grande. C'est que les prêtres ont été institués pour enseigner et pour avoir autorité dans l'église; ce qu'il a dit des évêques s'applique aussi aux prêtres. Ce n'est que par l'ordination que les premiers sont montés plus haut; c'est par là seulement qu'on leur voit un avantage sur les prêtres. — « De même des diacres », il leur demande les mêmes vertus. Et comment les mêmes? D'être irréprochables, prudents, hospitaliers, doux, pacifiques, désintéressés. « Pudiques, sincères », c'est-à-dire, sans vice caché, sans artifices; car rien ne produit la bassesse de l'âme autant que l'artifice, et rien n'est fâcheux dans l'Eglise comme un vice caché. — « Qui ne soient adonnés ni au vin à ni à des profits honteux, et gardent le mystère de la foi dans une conscience pure ». Vous le voyez, il a exprimé ce que c'est qu'être irréprochable. Voyez aussi comment il introduit ici l'idée : « Qu'il ne soit pas néophyte ». Car il ajoute : « Et qu'ils soient d'abord éprouvés»; en sorte que, ce qu'il a exprimé en parlant de l'évêque, il le répète par cette phrase conjonctive, qui ne laisse pas d'idée intermédiaire. Il fait donc entendre là aussi « Qu'il ne soit pas néophyte ». Ne serait-il pas étrange en effet que, dans une maison, l'on ne confie pas le service intérieur à un esclave nouvellement acheté, avant qu'il ait donné, par une expérience répétée, des preuves de son intelligence, et que, dans l'église de Dieu, celui qui arrive du dehors fût immédiatement admis dans les premiers rangs?

« Que de même les femmes », il parle des diaconesses, « soient pudiques, innocentes de calomnie, sobres, fidèles en toutes choses (11) ». Quelques-uns pensent que l'apôtre parle des femmes en général, mais il n'en est point ainsi ; comment, en effet, eût-il inséré dans ce qu'il dit ici des préceptes concernant les femmes? Il parle de celles qui possèdent la dignité de diaconesses. « Que les diacres ne soient maris que d'une seule femme (1) (12) ». Vous le voyez, il demande d'eux aussi cette vertu. Car, s'ils ne sont pas égaux en dignité à l'évêque, ils doivent, comme lui, être irréprochables et purs. « Qu'ils gouvernent bien leurs enfants et leurs maisons. Car les diacres qui

 

1. Il convient de l'entendre aussi des diaconesses, car c'est une chose bien nécessaire, profitable et conforme à la régularité des moeurs « que les diacres ne soient maris que d'une seule personne ».

 

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auront, bien rempli leur charge, obtiendront un rang honorable et une grande confiance dans la foi en Jésus-Christ (12, 13) ». Partout il parle du gouvernement des enfants, afin d'éviter au peuple le scandale qui résulterait de cet objet. « Car », dit-il, « les diacres qui auront bien rempli leur charge, obtiendront un rang honorable » , c'est-à-dire un rang plus élevé, « et une grande confiance dans la foi ». Ceux qui se seront montrés vigilants dans une charge inférieure arriveront promptement aux plus hautes, dit-il.

« Je vous écris ces choses, quoique j'espère me rendre promptement auprès de vous; afin que, si je tarde, vous sachiez comment il faut vous conduire dans la maison de Dieu, qui. est l'Eglise du Dieu vivant, la colonne et le fondement de la vérité (14,15) », Craignant que son disciple ne se décourage à la pensée de régler lui-même tout cela, il ajoute que, s'il écrit, ce n'est pas qu'il n'ait point l'intention de venir, et qu'il viendra, mais pour que, s'il tarde, Timothée ne se chagrine pas. Il lui adresse donc cette épître pour le sauver du découragement, il l'envoie aussi, pour en réveiller d'autres et les rendre plus zélés ; car l'annonce de son arrivée avait un grand pouvoir. Et ne vous étonnez pas si, prévoyant l'avenir par inspiration, il s'en montre ignorant par ces paroles : « J'espère venir, mais si je tarde », paroles qui conviennent à celui qui ignore. Car, puisqu'il était conduit par l'inspiration et n'agissait point par son sentiment propre, il devait ignorer cela. « Afin que vous sachiez », dit-il, « comment il faut vous conduire dans la maison de Dieu, qui est l'Eglise du Dieu vivant, la colonne et le fondement de la vérité»; ce n'est plus là le temple juif. Ces paroles comprennent la foi et la prédication; car la vérité est la colonne et le fondement de l'Eglise.

« Et sans contredit », ajoute-t-il, «c'est quelque chose de grand que ce mystère d'amour.  Dieu a été manifesté dans la chair, justifié dans l'Esprit (16) ». C'est là l'économie de notre salut, c'est-à-dire, l'incarnation. Ne me parlez pas des clochettes (Exod. XXVIII), du Saint des saints, ni du grand prêtre : la colonne du monde, c'est l'Eglise. Méditez ce mystère et vous tremblerez. C'est un mystère, un mystère de piété, sans contredit, et non comme un problème à résoudre, car il n'y a point là de doute. Il n'a, en traitant du sacerdoce, donné aucune de ces règles qu'on voit dans le Lévitique, mais il élève la pensée vers un autre sujet, savoir que l'Auteur du monde a été manifesté dans la chair. « Il a été vu dans la chair», dit-il, « et justifié dans l'Esprit». L'apôtre veut ici ou rappeler cette parole: «Et la sagesse a été justifiée par ses enfants » (Matth. XI, 19), ou exprimer que le Christ. n'a point commis de fraude, ce que le Prophète exprime en disant : « Qui n'a point, commis de péché; et la fraude ne s'est point trouvée dans sa bouche ». (Is. LIII, 9.) « Il a été vu par les anges ». Ainsi les anges n'ont vu qu'avec nous le Fils de Dieu : ils ne le voyaient pas auparavant. Vraiment, c'est là un grand mystère. « Il, a été annoncé aux nations , il a été, cru dans le monde ». Partout sur la terre' on a entendu et cru cet enseignement; ne pensez pas que ce ne soient , là que de vaines paroles. « Il a été élevé dans la gloire. celui que vous voyez élevé au ciel». (Act. I, 11.) « Les anges s'approchèrent et ils le servaient ». (Matth. IV, 11.) « Dans toute la terre le bruit s'en est fait entendre ». (Ps. XVIII, 5.) « Il a été élevé dans la gloire », sur les nuées.

Considérez, je vous prie, la sagesse du bienheureux apôtre. Lorsqu'il a voulu avertir ceux, qui sont jugés dignes du diaconat de ne pas se gorger de boisson, il ne leur a pas dit de ne pas s'enivrer,. mais de ne pas être adonnés au, vin. Car si ceux qui entraient dans le temple, n'en goûtaient point, combien plus ceux-ci doivent-ils s'en abstenir. Le vin trouble, en effet, même sans conduire jusqu'à l'ivresse; la vigueur de l'âme se détend, l'harmonie des facultés est détruite. Voyez comment l'apôtre appelle toujours mystère, l'incarnation, et c'est avec raison, car elle n'est visible ni pour les regards des hommes ni pour ceux mêmes des anges; et comment l'eût-elle été puisqu'elle s'est manifestée par 1'Eglise ? C'est pour cela qu'il dit : u Sans contredit c'est un grand « mystère ». Oui, c'en est. un grand qu'un homme soit Dieu et qu'un Dieu soit homme; homme, il a été vu sans péché ; homme, il s'est élevé au ciel et a été prêché, dans le monde; les anges l'ont vu avec nous. C'est donc un mystère. Ne le divulguons point, ne l'exposons point en toute occasion, mais me. nous une vie qui en soit digne. Ceux à qui les mystères sont -confiés sont grands. Si l'empereur nous confiait un secret, dites-moi, ne (315) nous témoignerait-il pas ainsi une grande amitié? Maintenant Dieu nous a confié ce mystère. Et comment, direz -vous, appeler mystère ce que tous connaissent? Non, certes, tous ne le connaissent pas. On l'ignorait avant qu'il fût révélé, et c'est maintenant qu'il a été manifesté aux hommes.

2. Rendons-nous donc dignes d'être les gardiens de ce mystère. Dieu nous a confié un mystère si grand ! et nous, nous ne lui confions pas nos biens. Mais lui-même vous dit de les déposer entre ses mains, où personne ne vous les ravira, où les vers ni les voleurs ne sauraient les atteindre; il nous promet de nous les rendre au centuple, et nous ne le croyons pas. Cependant, quand nous confions un dépôt à un homme, il ne nous rend rien de plus, et, s'il nous le rend tout entier, nous en sommes reconnaissants; nous n'exigeons pas, si un voleur l'a ravi, qu'on nous en tienne compte, non plus que si les vers l'ont rongé. Dieu nous rend ici le centuple, il y joint là vie éternelle dans l'autre monde, et personne ne lui confié ses biens. Mais, dit-on, il tarde à les rendre. C'est la plus grande preuve de sa libéralité que de ne pas nous les rendre dans cette vie, sujette à tant d'accidents, mais ici même il nous rend le centuple. Dites-moi, en effet, Paul n'a-t-il pas quitté le tranchet, Pierre la ligne et l'hameçon, Matthieu son bureau, et la terre n'a-t-elle pas été ouverte devant leurs pas plus que devant ceux des rois? N'est-ce pas à leurs pieds qu'étaient déposées les richesses de tous? Ne les en faisait-on pas les dispensateurs et les maîtres? Les âmes ne leur étaient-elles pas confiées, ne s'en remettait-on pas à leur volonté, se déclarant leurs serviteurs ?

Et combien de faits semblables se passent aujourd'hui autour de nous? Combien d'hommes petits et chétifs, ne maniant que le hoyau, ayant à peine la nourriture nécessaire, sont, parce qu'ils portent le nom de moines, élevés à nos yeux au-dessus de tous et honorés par les souverains ? Mais c'est peu ; songez que ce n'est que le surcroît; le principal nous est dispensé dans le siècle à venir. Méprisez les richesses, si vous voulez posséder des richesses; si vous voulez être riche, faites-vous pauvre. Ce sont là les paradoxes de Dieu : il ne veut pas que vous deveniez riche par vos propres efforts, mais par sa grâce. Renonce à cela pour moi, nous dit-il, occupe-toi des objets spirituels, afin d'apprendre à connaître ma puissance; fuis l'esclavage et le joug des richesses. Tant que tu es retenu par elles, tu es pauvre; lorsque tu les auras méprisées, tu seras doublement riche, parce que tout abondera entre tes mains et parce que tu n'auras plus besoin de ce qu'il faut au commun des hommes. Etre riche, en effet, ce n'est pas posséder beaucoup, c'est avoir besoin de peu : en tant qu'il a des besoins, un roi ne diffère pas d'un pauvre. La pauvreté, c'est avoir besoin de ce qu'on n'a pas ; en sorte qu'un roi est pauvre en tant qu'il a besoin de ses sujets. Mais il n'en est pas ainsi de celui qui a crucifié sa chair : il n'a besoin de personne; ses mains suffisent pour le nourrir. « Mes mains nous ont entretenu, mes compagnons et moi ». (Act. XX, 34.) Paul exprimait cette pensée quand il disait: « Comme n'ayant rien et possédant tout » (II Cor. VI, 10), lui que les habitants de Lystre ont honoré comme un Dieu. Si vous voulez obtenir le monde, recherchez le ciel; si vous voulez jouir des biens d'ici-bas , méprisez-les. « Cherchez le royaume des cieux », dit le Sauveur, « et tout le reste vous sera donné par surcroît ». (Matth. VI, 33.)

Pourquoi admirer de si petites choses ? Pourquoi cet enthousiasme pour ce qui ne mérite aucune estime? Jusqu'à quand serez-vous pauvre et mendiant ? Levez vos regards vers le ciel, pensez au trésor qu'il renferme, riez-vous de l'or, apprenez-en l'usage et le prix. La jouissance bornée à la vie présente, à cette vie sujette aux accidents, c'est comme un grain de sable ou plutôt comme une goutte d'eau, comparée à un immense abîme; telle est la vie présente comparée à la vie future. Ce n'est point possession, c'est usage; vous n'êtes pas propriétaire, car, dès que vous aurez expiré, que vous le vouliez ou non, d'autres recevront Nos biens et les transmettront encore à d'autres , qui les transmettront à leur tour. Nous sommes tous des hôtes, et le maître d'une maison n'en est que le locataire. Souvent, après sa mort, un autre en jouit plus que 'lui, et le premier maître n'avait pas une condition différente. Il s'est donné beaucoup de peine pour élever cette demeure et la restaurer; mais la propriété n'est que nominale : en réalité ce que nous avons n'est pas à nous. Nous ne possédons que ce que nous envoyons devant nous dans l'autre monde; ce qui reste (316) sur la terre appartient, non à nous, mais à notre vie, et souvent même nous abandonne de notre vivant. Ce qui est à nous, ce sont uniquement les biens de l'âme, la miséricorde et la bonté. Les biens matériels, ce sont les choses du dehors, suivant l'expression usitée même chez les païens; elles sont effectivement en dehors de nous. Sachons donc les faire passer au nombre des biens qui sont à nous. Celui qui sort de ce monde ne peut emporter ses richesses, mais il peut recevoir miséricorde. Envoyons plutôt ces biens devant nous pour nous préparer un tabernacle dans les demeures éternelles.

3. Le nom que nous donnons aux richesses (khremata) vient de celui de l'usage (kekhrestai) et non de la possession : en avoir, c'est en user et non les posséder. Dites-moi combien de maîtres a eus un champ, et combien il en aura. Il est un proverbe bien sage (car il ne faut pas dédaigner les proverbes populaires s'ils contiennent quelque sage pensée) Champ, dis-moi à combien de gens tu as été, à combien de gens tu seras. Et la même chose doit se dire des maisons et de l'argent. La vertu seule sait nous accompagner dans ce grand voyage et passer avec nous dans l'autre vie. Rompons nos liens, éteignons en nous le désir des richesses, afin de nous attacher à celui des biens futurs. Ces deux amours ne peuvent posséder une même âme. « Car ou elle aimera l'un et haïra l'autre, ou elle s'attachera à l'un et méprisera l'autre ». (Matth. VI, 24.) Considérez, s'il vous plait, un homme traînant à sa suite un grand nombre de serviteurs, faisant reculer la foule, couvert de vêtements de soie, porté sur un cheval et dressant la tête. N'en soyez point ébahi : il n'est que risible. De même que vous riez quand vous voyez des enfants jouer au souverain, faites-en de même en ce cas; l'un ne diffère pas de l'autre , ou plutôt le jeu des enfants est plus acceptable, à cause de la grande simplicité de leur âge. Ils n'en font qu'un sujet de rire et d'amusement, au lieu que cet homme est ridicule et plein d'impudence.

Glorifiez Dieu de ce qu'il vous a éloigné de ce rôle théâtral et de cet orgueil. Si vous le voulez, marchant à pied, vous serez plus élevé que l'homme porté sur un char. Et comment? Parce que, si son corps est quelque peu élevé au-dessus de la terre, son âme y est attachée, « Et ma force s'est attachée à ma chair ». (Ps. CI, 6.) Votre pensée, au contraire, plane dans les cieux. — Cet homme a des serviteurs qui lui font faire place. — Eh bien ! est-ce lui ou son cheval qui est le plus honoré? Quelle pire folie que de chasser des hommes pour qu'un animal ait la voie large devant lui? — Mais il y a quelque chose de respectable à être porté sur un cheval. Cet honneur lui est commun avec ses esclaves. Il est des gens si orgueilleux qu'ils se font suivre sans aucun besoin. Quoi de plus insensé que ceux-là qui veulent attirer les regards par leurs chevaux, la magnificence de leurs habits, les serviteurs qui les suivent? Quoi de plus frivole qu'une gloire qui résulte des chevaux et des serviteurs? Etes-vous vertueux? n'usez point de pareilles choses ; que votre parure soit en vous-même et ne provienne pas d'ornements étrangers. Des misérables, des coquins, des gens grossiers, tout homme enfin, pourvu qu'il soit riche, peut en avoir autant. Des mimes et des danseurs vont à cheval et ont un serviteur qui court devant eux; ils n'en sont pas moins des mimes et des danseurs; leurs chevaux et leurs suivants ne les ont pas rendus vénérables. Lorsqu'un homme entouré de cet appareil ne possède aucun des biens de l'âme, tous ces avantages extérieurs sont vains et sans valeur. De même que tout ce dont on revêt un corps débile et corrompu ne l'empêche pas d'être repoussant et corrompu; de même ici l'âme ne tire aucun avantage de ces objets extérieurs, mais demeure corrompue, s'entourât-on de mille bijoux. N'en soyons donc point fascinés; éloignons-nous des avantages qui passent, attachons-nous à de plus grands biens, aux biens spirituels, qui nous rendent vraiment respectables, afin d'obtenir le bonheur à venir. Soyons-en tous jugés dignes en le Christ Jésus Notre-Seigneur, avec qui soient au Père et au Saint-Esprit, gloire, puissance, honneur, à présent et toujours, et aux siècles des siècles. Ainsi soit-il.

 

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