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UBIQUITÉ (l’) enseignée par Luther sur ce fondement, que Dieu étant partout, et la divinité étant unie dans Jésus-Christ à l'humanité, cette humanité doit être partout, XIV, 88. L'ubiquité est érigée en dogme par la plupart des Eglises luthériennes, XIV, 347. Elle fait pencher Mélanchthon vers les sacramentaires, XIV, 341. On la trouve établie dans le livre de la Concorde, quoiqu'on prétende y répéter la Confession d"Augsbourg, qu'on combat en effet, XIV, 346,347. Le but des luthériens, en établissant l'ubiquité était de fermer la bouche aux sacramentaires, qui disaient que Dieu ne pouvait mettre le corps de Jésus-Christ en plusieurs lieux à la fois, XIV, 348. Ce dogme est toléré dans les luthériens par les calvinistes au synode de Charenton, XV, 48.

UNION des Saints avec Jésus-Christ, VIII, 27. Discours sur l'union de Jésus-Christ avec l’âme fidèle, X, 568. L'union des Eglises n'est pas, selon Basnage, du premier dessein de Jésus-Christ, ce qu'on réfute par les paroles mêmes du Sauveur, XVII, 191. On prouve, par saint Paul, que les Eglises chrétiennes étaient établies pour ne faire ensemble, au dedans et au dehors, qu'une seule Eglise catholique, XVII, 192. On démontre, par l'Ecriture, que les Eglises s'unissaient dans la doctrine, et même dans le fond de la discipline, et que le consentement commun tenait lieu de règle, XVII, 193.

UNITAIRES. Voy. Sociniens.

UNITÉ de Dieu. Les Personnes divines se rapportent à un seul principe. La théologie des Pères profonde sur ce point. La hauteur d'un si grand mystère fait quelquefois trouver des difficultés dans les explications que les saints Pères en donnent, XVI, 42, 43.

L'unité de l'Eglise constitue sa force et sa beauté, XI, 412, 592 ; XII, 652 et suiv. Quelle est l'origine de l'unité de l'Eglise, XI, 417, Cette unité parvenue jusqu'à nous, par une succession continuelle, ibid.

 

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Merveilles du mystère de l'unité de l'Eglise, XXVII, 305 et suiv. Saint Pierre est choisi pour le consommer, XXVII, 313 et suiv.

Sermon sur l'unité de l'Eglise, XI, 58. Ce discours est approuvé à Rome, XXVIII, 128. Voy. Bossuet, Eglise.

UNIVERS. Spectacle qu'il présente ; sage économie qui s'y fait remarquer : objections des incrédules sur les désordres apparents de l'univers, XI, 169. Bel ordre de l'univers, XI, 233.

UNIVERSITÉ (l’) de Paris, écrit à Clément VII pour l'engager à abdiquer, XXI, 569. Elle a toujours persisté dans la doctrine du cardinal d'Ailly et de Gerson, sur la puissance du Pape et des conciles : pourquoi on l'appelle la doctrine de l'Ecole de Paris, XXII, 488 et suivantes.

URBAIN II, Pape, anime dans le concile de Clermont, les princes et les peuples à se croiser contre les Sarrasins, XXV, 48.

URBAIN VI, Pape pendant le grand schisme, qui ne put être terminé que par le concile de Pise, XXII, 223. Voy. Pise.

URSULINES de Meaux; exhortation que Bossuet leur fait dans sa visite pastorale, X, 493 et suiv. Avec quelle vigilance elles doivent travailler à l'éducation des enfants qu'on leur confie, X, 526 et suiv. Zèle qu'elles doivent avoir pour leur perfection, X, 541. Union qui doit régner entre elles, X, 545.

USURE (Traité de V). Dans l'ancienne loi, l'usure était défendue d'Israélite à Israélite, et cette usure était tout profit au-delà du prêt, XXXI, 21. L'esprit de la loi est de défendre l'usure comme quelque chose d'inique, XXXI, 24. L'Eglise a toujours cru cette défense de l'usure obligatoire sous l'Evangile, XXXI, 26 et suiv. Cette défense a dû même être perfectionnée dans la loi nouvelle, XXXI, 39. Il est de foi que l'usure est défendue à tous et envers tous, XXXI, 43. L'opinion contraire est sans fondement, XXXI, 44 et suiv. La loi divine qui défend l'usure, défend en même temps tout ce qui y est équivalent, XXXI, 54. L'Eglise catholique, et c'est la tradition constante de tous les Pères et de tous les siècles, a toujours compris que l'usure ou prêt à intérêts, c'est-à-dire, le gain retiré du prêt, était défendu entre les frères par les livres de Moïse, des prophètes et de l'Evangile, XXII, 709.

L'usure est défendue dans l'Ecriture, III, 530. Grotius la justifie, IV, 443. L'usure est défendue envers les riches et les pauvres, hors le cas de lucrum cessans et de damnum emergens, XXII, 709, 724 et suiv. Censure de l'Assemblée de 1700 sur cette matière, XXII, 755 et suiv. Usage des commerçants de Hollande dans les prêts. De quelle manière se conduisent ceux d'entre eux qui veulent éviter l'usure, XXVI, 326.

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