
LES
CONFESSIONS DE SAINT AUGUSTIN
Cette traduction des Confessions est l’œuvre de M.
Moreau (1864)
(N.B. Orthographes et vocabulaires sont du XIXème
siècle!)
Invocation. — Ses premières années. — Péchés de son enfance . — Haine de
l’étude . — Amour du jeu.
Désordres de sa première jeunesse. — Ses débauches à l’âge de seize ans.
— Larcin dont il s’accuse sévèrement.
Amours impurs. — Il tombe à dix-neuf ans dans l’hérésie des Manichéens. —
Prières et larmes de sa mère.
Paroles prophétiques d’un évêque.
Neuf années d’erreur. — Sa passion pour l’astrologie. — Mort d’un ami;
violence de sa douleur. — Ses livres de la Beauté et de la Convenance. —
Force e t vivacité de son intelligence.
Il se dégoûte des doctrines manichéennes à l’âge de vingt-neuf ans. — Il
va à Rome, puis à Milan pour enseigner la rhétorique. — Ayant entendu saint
Ambroise, il rompt avec les manichéens et demeure catéchumène dans l’Eglise.
Sainte Monique retrouve son fils à Milan. — Assiduité d’Augustin aux
prédications de saint Ambroise. — Son ami Alypius. — Projet de vie en commun
avec ses amis. — Sa crainte de la mort et du jugement.
Peines de son esprit dans la recherche du mal. — Par quels degrés il
s’élève à la connaissance de Dieu. — Erreur de ses sentiments sur la
personne de Notre-Seigneur Jésus-Christ.
Arrivé à la trente-deuxième année, il va trouver le vieillard
Simplicianus. — Il apprend la conversion de Victorinus, rhéteur célèbre. —
Potitianus lui fait le récit de la vie de saint Antoine. — Agitation de son
âme pendant ce récit. — Lutte entre la chair et l’esprit. — Derniers
combats. — Il se rend à cette voix du ciel : Prends, lis! Prends, lis!
Il renonce à sa profession. — Sa retraite dans la villa de Verecundus. —
Son baptême. — Mort de sa mère.
Confession du coeur. — Ce qu’il sait avec certitude, c’est qu’il aime
Dieu. — Il le cherche et le trouve dans sa mémoire. —Puissance
incompréhensible dont il décrit les merveilles. — Il s’interroge sur la
triple tentation de la volupté, de la curiosité et de l’orgueil. — Il remet
à Notre-Seigneur Jésus-Christ, seul médiateur entre Dieu et les hommes, la
guérison des maux de son âme.
Il demande à Dieu l’intelligence des Ecritures. — Il cherche à
expliquer les premières paroles de la Genèse : « Dans le principe
Dieu fit le ciel et la terre. » — Il répond à cette question : « Que faisait
Dieu avant la création du monde? » — Point de temps avant la création. —
Qu’est-ce que le temps? — Quelle est la mesure du temps?
Le Ciel, création des natures spirituelles. — La Terre, création de la
matière primitive. — Profondeur de I’Ecriture. —Des divers sens qu’elle peut
réunir. — Tous les sens prévus par le Saint-Esprit.
Toute créature tient l’être de la pure bonté de Dieu. —
Il découvre dans les premières paroles de la Genèse et la Trinité de
Dieu et la propriété de la personne du Saint-Esprit. — Image de la Trinité
dans l’Homme. — Dieu procède dans l’institution de l’Eglise comme dans la
création du monde. — Sens mystique de la création.
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