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TABLE ANALYTIQUE DES INSTITUTIONS LITURGIQUES

 

 

O

 

OBEISSANCE. Tout fidèle est tenu d'obéir à la puissance la plus élevée; l'obéissance ne peut être exigée que dans la mesure du droit de celui qui a reçu l'autorité, IV, 478.

 

ODILON (saint), abbé deCluny, compose des hymnes en l'honneur de plusieurs saints (S. XI), I, 298.

 

ODON (saint), abbé de Cluny. Ses hymnes en l'honneur de saint Martin et de sainte Madeleine (S. X), I, 261.

 

ODON, écolâtre d'Orléans, auteur d'une exposition de la messe (S. XII), I, 305.

 

ODON, moine de l'Abbaye des Fossés, près Paris, auteur des Répons en l'honneur de saint Babolein (S. XI), I, 3oo.

 

OFFICE DIVIN. Les Pères latins des premiers siècles marquent les heures canoniales avec leurs sens mystiques, I, 44,-45, 46, 47. La récitation privée de l'office est une œuvre liturgique, I, 2.

 

OFFICE DES MORTS époque de sa composition ; plusieurs répons se trouvent dans les antiphonaires et responsoriaux grégoriens, I, 289. Voir : Morts (Office des).

 

OLBERT, abbé de Gemblours, écrit deux traités sur le chant (S. xt), I, 298.

 

OLIER (Jean-Jacques), fondateur du Séminaire de Saint-Sulpice, compose le traité des saints Ordres et celui de l'explication des cérémonies de la grand'messe (S. XVII), II, 95 ; sa connaissance des livres liturgiques, III, 10.

 

ONORATO (Agnello), chanoine d'Aversa, donne quelques dissertations sur des matières liturgiques (S. XVIII), II, 491.

 

ORDONIUS, moine espagnol, publie un Rational des divins offices (S. XII), I, 312.

 

ORDRES ROMAINS. Ils renferment le détail des cérémonies de la messe papale, de l'administration des sacrements, etc., I, 174; dernier ordre romain par Paris de Grassi, qui sert de base au cérémonial, 374.

 

ORIENT (Eglises d').  Spectacle bien différent qu'offrent les églises d'Orient et celles d'Occident au IXe  siècle, au point de vue  liturgique, I, 214;  considérations sur les liturgies d'Orient,  222, 223; l'unité liturgique donne la vie à l’Église latine, impuissante à  la maintenir dans l'église grecque,  224. Rome  a  toujours témoigné de ses égards pour leurs diverses liturgies,  III, 141 ; elle  les a prises sous sa sauvegarde pour ménager les susceptibilités de ces peuples; la langue de Rome, comme  sa foi,  sera peut-être un jour le moyen d'unité et de régénération de l'Orient, 142; les rites orientaux célébrés à Rome sous les yeux du Pape, depuis mille ans;  le collège de la  Propagande renferme des élèves appartenant à toutes  les liturgies orientales,  143; le Saint-Siège intervient souvent pour protéger ces liturgies, 144, 143 ; les Papes défendent de passer du rite grec au rite latin, 146. La liturgie de la Métropole adoptée dans le ressort patriarcal dans le désir de  conserver  l'unité de doctrine; prérogative du  patriarche des Maronites restreinte  en 1756, 472; prétentions du patriarche de Constantinople sur la liturgie dans les autres patriarcats,  472,  473 ; Rome veille  à la conservation des liturgies orientales;  Grégoire XVI  interpose son  autorité pour arrêter la  destruction de la liturgie grecque, 483,485; congrégation à Rome pour la correction des livres de l’Église orientale, 486. Le schisme est dû en partie à leurs liturgies particulières, IV, 519 ; le droit de contrôle et de correction  du Saint-Siège  s'exerce même sur ces liturgies, 532 ; elles ne sont qu'une protestation de plus contre l'anarchie du culte divin en France, 535.

 

ORIENT (sectes des Eglises d'). Les notions traditionnelles conservées avec le sentiment de la foi par les Sectes orientales, I, 388; l'inspiration liturgique toujours féconde chez ces hérétiques; leur fidélité à conserver les traditions sur les rites et les cérémonies, 38o, ; l’Église grecque conserve dans le schisme les formes de sa liturgie catholique, mais elle reste stérile, 389, 3oo ; raisons pour lesquelles il n'y a pas d'hérésie antiliturgique parmi les sectes d'Orient; la liturgie complète est l'expression de leur situation, 388, 389. Voir : Russie.

 

ORIGENE. Il explique les effets merveilleux produits dans les âmes par la seule prononciation des paroles de la sainte Ecriture, III, 78, 79.

 

ORLENDIS (François), dominicain, publie un Traité sur le lavement des pieds le jour de la Cène (S. XVIII), II, 477.

 

ORNEMENTS SACRES. Forme des ornements sacrés altérée en France depuis la révolution, sans le concours de l'autorité ecclésiastique, IV, 76 et suiv. Justesse des critiques des ornements modernes; les évoques donnent eux-mêmes raison aces critiques, 111, préf, X, XI.

 

ORSI (Joseph-Augustin), dominicain, card., auteur de trois dissertations liturgiques (S. XVIII), II, 487.

 

OSBERNE, chantre de Cantorbéry, publie un Traité de musica (S. XI), I, 3oa.

 

OUDIN (François), jésuite, auteur de quelques hymnes en l'honneur de saint François-Xavier (S. XVIII), II, 481.

 

 

 

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