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TABLE ANALYTIQUE DES INSTITUTIONS LITURGIQUES  

 

S

 

SABBAS (saint), abbé de la grande Laurede Palestine, compose pour l'usage de son monastère, un Ordre pour la récitation de l'office (S. V), I, 142.

 

SACRAMENTAIRES. Saint Gélase rédige le Sacramentaire qui porte son nom, I, 138 ; son usage dans un grand nombre d'églises d'Occident; la liturgie gallicane lui fait beaucoup d'emprunts, III, préf., XXXIII.

Sacramentaire de saint Grégoire. Son origine décrite par Walafrid Strabon, I, 155, 156; III, préf., XXXIII, XXXIV; Alcuin compile un Sacramentaire partie Gélasien et partie Grégorien ; Strabon constate ce fait; Mgr Fayet reproche à dom Guéranger d'avoir commis un contre-sens dans la traduction de cet auteur; réponse à ce reproche, III, préf., XXXIII et suiv.; fidélité remarquable avec laquelle les copies reproduisent le type original, venu de Rome, III, 218; prologue en tête du Sacramentaire, attribué à Alcuin; quelques traits de ce prologue, 219,220; nouvelles preuves de cette fidélité d'après le Codex vaticanus, 221;  Charlemagne demande à Saint Adrien un exemplaire du Sacramentaire Grégorien ; un concile de Mayence ordonne de le suivre dans l'administration du baptême, 238; Sacramentaire Grégorien conservé au grand séminaire d'Autun, III, 444; au Mans, 219.

Sacramentaire, dit Léonien. Saint Léon est-il l'auteur d'un Sacramentaire publié sous son nom par Joseph Bianchini : I, 138; prières écrites au III° siècle, empruntées à ce Sacramentaire, III, 28, 29, 3o; le missel de Paris, promulgué par l'archev. de Vintimille, renferme plusieurs formules tirées du même Sacramentaire, II, 324, 325.

 

Sacramentaire français rédige par Ponssignon, prêtre du Doubs, présenté au conciliabule de 1801 et rejeté par la secte janséniste, II, 563. Quelques Sacramentaires remarquables par leurs ornements, III, 357, 359, 366, 411.

 

SACRAMENTAUX. Les Apôtres ont laissé des enseignements sur la pratique des Sacramentaux, I, 37; l'Église exerce le pouvoir des  sacramentaux comme celui des sacrements; c'est par leur moyen qu'elle répand sur les fidèles la plénitude de sanctification qui est en elle, I, 6, 7.

 

SACRE DE NAPOLEON Ier par Pie VII, II, 594; de Charles X à Reims; mutilations opérées sur le cérémonial antique de cette fonction, 599, 600 ; pitoyable exécution du manuscrit qui servit au sacre, 111, 339; évangéliaire du sacre des rois à Reims, exécuté au XVI° siècle, 336.

 

SACREMENTS. Ils sont les organes de la sanctification de l'homme, les sources divines du salut, I, 6, 7; pouvoir perpétuel donné aux Apôtres et à leurs successeurs de veiller à la garde du dépôt des sacrements, de régler les rites poulies rendre plus vénérables au peuple chrétien, 22, 23; dans l'administration des sacrements, des rites nombreux sont d'institution apostolique, 1, 36, 38; tactique des Jansénistes qui, sans nier la vertu des sacrements,les anéantissait quant à l'effet en les rendant inaccessibles, II, 17.

 

SACREMENT (fête du Saint-). L'année chrétienne reçoit son complément au XIII° siècle par l'institution de cette fête, I, 332; décrétée par Urbain IV, en 1264, cette solennité est une protestation contre les hérésies sacramentaires; composition de l'office du Saint-Sacrement, respecté par les novateurs du XVIII° siècle eux-mêmes, 333, 334; cet office parait devoir être attribué à saint Thomas d'Aquin, du moins pour la principale part; majesté de la forme scolastique et heureux mélange des sentences de l'Ancien et du Nouveau Testament dans cette composition ; même génie méthodique, dans la prose Lauda Sion, 334, 335; défaut d'originalité dans les chants de l'office et de la messe du Saint-Sacrement, 336; presque toutes le pièces en prose de l'office ne sont que des pastiches de morceaux plus anciens, 336, 337 ; les blasphèmes de Bérenger contre le dogme de l'Eucharistie au XI° siècle, sont le signe de l'insurrection du rationalisme contre le culte liturgique, I, 391 ; outrage fait à Notre-Seigneur par les anti-liturgistes en supprimant l'exposition du Saint-Sacrement, II, 544, 545; condamnation de l'hérésie sacramentaire du XI° et du XVI° siècle par les formules liturgiques, IV, 382, 383; la procession de la Fête-Dieu en 1801, décrite par Chateaubriand, II, 584.

 

SACRIFICE. Il est le principal et le plus auguste des actes de la liturgie; il a été exercé et pratiqué par les premiers hommes, I, 18. Voir : Messe. Sacrifice purement intérieur selon Mgr Fayet, IV, 310.

 

SAILER (J.-Michel), évêque de Ratisbonne, auteur de deux livres liturgiques (S. XIX), II, 681.

 

SAINT-DOMINIQUE (Jacques de), dominicain, auteur d'une dissertation sur l'administration de la Communion (S. XVII), II, 110.

 

SAINT-OMER (diocèse de), adopte le romain pur, I, 449.

 

SAINT-SULPICE (compagnie de). La part qu'elle prit à la rédaction du bréviaire de Paris, sous Mgr de Beaumont, II, 513, 617; elle n'avait adopté la liturgie parisienne de Mgr de Harlay et de Mgr de Vintimille qu'avec répugnance, 616; son zèle pour les rites sacrés, III, 10, 563.

 

SAINTE-BEUVE (Jean de), compose un traité liturgique : la Tradition de l’Église sur les bénédictions (S. XVII), II, 103.

 

SAINTE - MARIE (Honoré de), carme, traite beaucoup de questions liturgiques dans son ouvrage sur l'usage de la Critique (S. XVIII), II, 479.

 

SAINTE-MARIE (Joseph de), chartreux espagnol, compose trois livres liturgiques (S. XVII), I, 528.

 

SAINCTES (Claude de), évêque d'Evreux, traduit les liturgies de saint Jacques et de saint Basile (S. XVI), 1,474.

 

SAINTS. Ils chantent au ciel la louange divine; ils reprendront un jour leur corps afin de pouvoir donner à leur liturgie une forme visible, I, 17; la résurrection des corps sera le complément au Ciel de la liturgie des Saints, IV, 316; au XII° siècle, la dévotion envers les Saints inspire les plus beaux chants aux compositeurs liturgistes, I, 289; résumé des théories des novateurs dans la réforme liturgique; la suppression des anciens offices des Saints porte un coup mortel à leur culte, II, 542, 543; intention criminelle de ceux qui supprimaient les fêtes populaires des Saints, 543; détriment porté à la foi des peuples en répétant sans cesse que les saints repoussent les hommages de ceux qui n'imitent pas leurs vertus; oubli complet du culte des Saints, fruit du triomphe de ces théories, 544; la liturgie nous apprend que les écrits des Saints contiennent la doctrine du salut, IV, 395.

 

SALA (Robert), cistercien, donne une nouvelle édition des œuvres du card. Bona (S. XVIII), II, 495.

 

SALGUES (J.-B.), ancien doctrinaire, compose un livre sur la littérature des offices divins (S. XIX), II, 683.

 

SALINIS (l'abbé de), plus tard archev. d'Auch, compose une nouvelle prose pour le Missel de Paris, en l'honneur de saint Pierre et de saint Paul, II, 615.

 

SALVAROLI (le comte Frédéric). Ses travaux sur les calendriers en général, et sur d'autres matières liturgiques (S. XVIII), II, 598.

 

SALVIEN, prêtre de Marseille. Ses homélies des mystères; sentiment de dom Mabillon sur la signification de ce mot : homélies (S. V), I, 141.

 

SALVUS, abbé d'Alvelda, compose des hymnes et des oraisons (S. IX), I, 258.

 

SANCHE, infant d'Aragon, archev. de Tolède, compose des hymnes et des litanies en l'honneur de la sainte Vierge (S. XIII), I, 341.

 

SANTEUL (Claude), chan. de Saint-Victor de Paris, auteur de plusieurs hymnes (S. XVII), II, 106.

 

SANTEUL (Jean-Baptiste), chan. régulier de Saint-Victor. Il fut l'hymnographe des bréviaires de Paris et de Cluny, II, 70; contradiction flagrante entre les allures de Santeul et celles des saints personnages qui ont illustré son abbaye; il est condamné d'avance par saint Bernard, 71; Santeul fauteur de l'hérésie janséniste; Nicolas Le Tourneux lui fournit la matière de ses hymnes, y3; sa prudence habituelle dans ses compositions; plaintes excitées par une de ses strophes d'une hymne de l'office des Évangélistes, 70, 76; portrait de Santeul par La Bruyère, 77; contraste de ce caractère avec celui des hymnographes de l'Église; vanité de Santeul opposée à l'humilité que saint Bernard exige du poète chrétien, 78, 79; sa mort provoquée par des circonstances indignes de la gravité d'un ecclésiastique, 79; ses hymnes, imitation des classiques anciens, contrastent avec les restes des hymnes des poètes chrétiens, conservés dans les bréviaires gallicans, 81; la latinité de Santeul critiquée par des juges compétents, 82; ses hymnes sont restées dans le bréviaire parisien; supériorité de Goffin comme hymnographe sur Santeul, II, 277, 278; elles sont déplacées dans un bréviaire, 368; critique des hymnes  de Santeul par le  P. Faustin Arevalo, jésuite espagnol, 701 ; dom Guéranger maintient son jugement contre Mgr d'Astros sur une strophe d'une hymne des Évangélistes par Santeul, IV, 62 et suiv.

 

SARDAJESU, prêtre nestorien, écrit une formule pour renvoyer le peuple à la fin de la Messe (S. X), I, 262.

 

SARMELLI (Pompée), compose plusieurs traités liturgiques (S. XVII), II, 110.

 

SAUSSAY (André du), évêque de Toul. Ses ouvrages sur les ornements sacrés (S. XVII), I, 529.

 

SAVONAROLE (Jérôme),dominicain, auteur de plusieurs traités liturgiques (S. XV), I, 378.

 

SCACCHI (Fortunat), augustin, év. de Porphyre. Son ouvrage sur les Huiles et les Onctions sacrées (S. XVII), I, 526.

 

SCHELSTRATE (Emmanuel), publie un livre sur le Secret des Mystères (S. XVII), II, 108.

 

SCHMID (François-Xavier), curé dans le diocèse de Passau, compose deux ouvrages liturgiques (S. XIX), II, 686.

 

SCHOLLINER (dom Herman), bénédictin, auteur d'un traité de Disciplina arcani, etc. (S. XVIII), II, 570.

 

SCHULTING (Corneille), chan. de Saint-André de Cologne. Ses œuvres liturgiques (S. XVI), I, 479.

 

SCHWINGHANNB (François de), publie un traité sur la langue de l'Église et la langue nationale dans la liturgie (S. XIX), II, 688.

 

SCIENCE. Toute science véritable s'appuie sur des faits, contenus dans les documents originaux, ou présentés sous une forme didactique, III, 1 ; imperfection de cette dernière méthode, surtout dans l'ordre de la science ecclésiastique, soit de la théologie, soit du droit canonique, 2, 3; nécessité d'étudier les sources; exemple des aspirants à la science du droit civil, 4 ; les traités sont utiles, s'ils inspirent le désir d'étudier les sources elles-mêmes, 4, 5 ; l'Église n'a jamais défendu à personne d'écrire sur ces sciences, soit sur le dogme, soit sur la morale, IV, 264.

 

SCORTIA (J.-B.), jésuite, publie quatre livres de Sacrificio Missae (S. XVII), I, 524.

 

SCULPTEUR. La liturgie seule peut lui révéler les détails de pose, les agencements de draperie, etc., I, 14.

 

SECCHI (Anaclet), barnabite, auteur d'un ouvrage sur le chant ecclésiastique : Hymnodia ecclesiastica (S. XVII), I, 528.

 

SECRET des mystères. La loi du secret nécessaire dans les premiers siècles, I, 58.

 

SEDULIUS, prêtre. Ses poésies liturgiques, dont l'Église se sert encore aujourd'hui (S. v), I, 140; anachronisme au sujet de Sédulius, par Mgr d'Astros, IV, 8.

 

SELVAGGI (Jules-Laurent), prêtre napolitain, auteur d'un ouvrage sur l'Antiquité des institutions chrétiennes (S. XVIII), II, 574.

 

SEMINAIRES. Un enseignement spécial de la liturgie indispensable dans les Séminaires, I, 11.

 

SENS, épure ses livres liturgiques à l'aide de ceux de saint Pie V, I, 44.

 

SEQUENCES. Leur origine, leur emploi; doit-on les distinguer des tropes, I, 249; le pape Adrien II ordonne de les chanter avant l'Évangile, I, 230; la Séquence prend sa forme définitive, 293 ; Séquences et répons du roi Robert, 294.

 

SERRARIUS (Nicolas), jésuite, auteur d'un traité sur les litanies et d'un autre sur les processionnaux (S. XVII), I, 522.

 

SERVIN, avocat général au Parlement de Paris. Son plaidoyer contre Miron, évêque d'Angers, à propos de l'introduction du bréviaire romain dans l'église de la Trinité d'Angers; il provoque un arrêt du parlement contre le prélat, I, 50o; maximes de Servin : arrêter les influences directes de Rome sur la liturgie; surveiller par autorité souveraine, le clergé dans une chose aussi importante que la prière publique; plaintes de l'Assemblée du clergé contre Servin, adressées au roi, 501, 502; autre arrêt du parlement porté sur les conclusions de Servin, contre l'introduction du bréviaire romain dans la collégiale de Saint-Maixme de Chinon, 504.

 

SETTALA (Charles), évêque de Derton, auteur d'un traité sur la Messe (S. XVII), II, 101.

 

SEVERE (Gabriel), archev. de Philadelphie, compose un livre de Septem Sacramentis (S. XVI), I, 477.

 

SEVERE , évêque d'Antioche, monophysite, rédige un livre liturgique sur les rites du baptême et de la Sacrée Synaxe (S. VI), I, 143.

 

SEVERIEN, évêque de Gabales, écrit sur le Baptême et l'Epiphanie (S. V), I, 139.

 

SIANDA (Jean), cistercien, auteur d'un Onomasticum sacrum (S. XVIII), II, 579.

 

SICARD, évêque de Crémone, auteur d'un traité intitulé : Summa de divinis officiis (S. XII), I, 312.

 

SIDOINE Apollinaire, évêque de Clermont, auteur de plusieurs messes de la liturgie gallicane (S. V), I, 142.

 

SILVESTRE (saint), pape. Il règle les rites de la dédicace des églises dans l'Occident, I, 89; munificence de ce pape envers une basilique de Rome, 93 ; ses règlements liturgiques, 102.

 

SIMEON, évêque de Betharsam, monophysite, auteur d'une liturgie (S. VI), I, 143.

 

SIMEON STYLITE (saint), auteur de quelques pièces liturgiques (S. VI), I, 144.

 

SIMEON, archev, de Thessalonique, auteur d'un recueil de prières et d'un commentaire important de divino templo, de ejus ministris, etc. (S. XIV), I, 376.

 

SIMEON TAYLOR, dominicain, compose deux traités de chant ecclésiastique (S. XIII), I, 339.

 

SIRICE (saint), pape. Solennité avec laquelle il promulgue ses décrets liturgiques, I, 104; l'unité liturgique conséquence nécessaire de l'unité de foi, selon ce pape, 123.

 

SIRMOND (Jacques), jésuite. Son traité de la pénitence publique (S. XVII), II, 94.

 

SIXTE-QUINT, pape, institue la congrégation des Rites, I, 464, 465.

 

SLAVONIE, évangélisée par saint Cyrille et saint Méthodius; usage de la langue des Slaves, concédé dans la liturgie par le pape Jean VIII, eflèts désastreux de cette concession, III, 104 et suiv.

 

SOLESMES. Charles-Louis de Froullay, évêque du Mans, favorise le monastère de Solesmes, II, 352; dom Guéranger le choisit pour la restauration de l'ordre de Saint-Benoît en France et y établit la liturgie romaine, I, prêf., XXXII; Grégoire XVI érige ce monastère en abbaye, XXXV.

 

SOLIMENO (Joseph), auteur d'un grand ouvrage sur la manière de l'administration de l'Eucharistie (S. XVII), II, 115.

 

SORDONNE. Elle proteste en 1661 contre la traduction du Missel par de Voisin, que l'on disait approuvée par elle, II, 12; elle condamne dans cette même déclaration un recueil de prières publié par un sieur de Laval,comme donnant des traductions infidèles des prières de l'Église et sentant l'hérésie, 16; le chapitre de Paris consulte la Sorbonne sur l'adoption projetée des livres romains; réponse scandaleuse de quelques docteurs, I, 453; elle proteste elle-même en 1603 contre cet avis dicté par la haine de Rome, 434; la censure de la Sorbonne contre le bréviaire en 1548, applicable entièrement à la rédaction des nouveaux offices, II, 281 ; censure longuement motivée de la faculté contre l'usage de la langue vulgaire à propos d'une proposition d'Erasme, III, 122,  113.

 

STAUDENMAIER, docteur catholique, publie un livre liturgique (S. XIX), II, 686.

 

STETTELE (Joseph), professeur au collège de la Sapience, à Rome, publie un opuscule sur les Stations de Rome (S. XIX), II, 684.

 

STEVANO (Joseph-Valentin), évêque italien, auteur de deux opuscules liturgiques (S. XVI), I, 477.

 

STURMIUS (saint), auteur d'un Ordo officii in domo, etc. (S. VIII), I, 179.

 

SUARES (Joseph-Marie), évêque de Vaison, publie un ouvrage liturgique sur les Agnus Dei (S. XVII), II, 95.

 

SUAREZ, jésuite. Son livre : la Défense de la Foi catholique, dans lequel il défend les prérogatives du Saint-Siège contre les anglicans, III, préf., XLVII.

 

SUGER, abbé de Saint-Denis, auteur d'un opuscule sur la dédicace de son église (S. XII), I, 308.

 

SUICERUS ou  SCHEITZER (Jean-Gaspar), ministre calviniste, auteur du Thesaurus ecclesiasticus, etc. (S. XVII), II, 107.

 

SUICERUS (Jean-Henri), fils du précédent, II, 108.

 

SWETCHINE (Madame). Son jugement sur le premier volume des Institutions liturgiques de dom Guéranger, I, préface, XXXIX.

 

SYMBOLES. Usage fréquent du symbole des Apôtres dans la liturgie, IV, 387; force de la liturgie quant aux symboles; l'addition filioque dans la liturgie de Rome donne une nouvelle décision dogmatique; l'autorité dogmatique du Symbole se réduit uniquement à l'autorité de la liturgie, IV, 388.

 

SYMBOLISME. Symboles exprimés parles diverses parties d'une église; la symbolique s'enrichit depuis le IV° siècle dans l'église d'Occident, jusqu'à l'époque de la réforme, I, 86, 89; haine de la secte anti-liturgique contre le symbolisme chrétien, II, 182; il fait partie de la religion, mais il n'est pas la religion à lui seul, IV, 317, 318; dire que la religion n'est qu'un vaste et radieux symbolisme, c'est soutenir une doctrine impie, 317; le Symbolisme des Institutions liturgiques est celui de l'Église catholique, 318.

 

SYNESIUS, évêque de Ptolémaïde, compose des hymnes célèbres (S. V), I, 140.

 

 

 

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