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TABLE ANALYTIQUE DES INSTITUTIONS LITURGIQUES

  

Q

 

QUARTI (Paul-Marie), théatin. Ses œuvres liturgiques (S. XVII), II, 94.

 

QUELEN (Mgr. de1, archev. de Paris. Il apporte de grandes améliorations à la liturgie parisienne, II, 618 et suiv.

 

QUESNEL (P.), oratorien. Il publie les Réflexions morales; propositions de ce livre condamnées par la bulle Unigenitus, II, 13 o. 131, 13 2.

 

QUIGNONEZ (François), cardinal. Clément VII, le charge do composer un bréviaire abrégé; détails sur l'exécution  de ce travail, I, 358 et suiv. Voir : Bréviaire DE  QUIGNONEZ.

 

QUIMPER. Le diocèse de Quimper abandonne le rite romain en 1835, pour prendre le parisien, II, 608; réflexions des protestants à ce sujet, 609; institution étrange d'un office pour l'anniversaire de l'ordination de chaque prêtre, 610, 6u.

 

QUIRINI (D.-Ange-Marie), bénédictin, card. évêque de Brescia. Ses œuvres liturgiques (S. XVIII), II, 482.

 

R

 

RAINALD II, abbé du Mont-Cassin, cardinal, auteur de plusieurs hymnes (S. XII), I, 309.

 

RAMBACH (Auguste-Jacques), luthérien, publie l'Anthologie de chants chrétiens, de tous les siècles de l’Église (S. XIX), II, 681.

 

RATBOD (saint), évêque d'Utrech, compose le chant d'un office en l'honneur de saint Martin (S. X), I, 260.

 

RAOUL DE RIVO, doyen de l'église de Tongres, auteur d'un calendrier ecclésiastique et d'un traité liturgique (S. XIV), I, 376.

 

RAPHAËL (le Père), capucin, publie une explication de la Messe (S. XVII), II, 113.

 

RAYMOND DE CAPOUE, compose un office pour la Visitation de la sainte Vierge (S. XIV), I, 376.

 

RAYNALD, évêque de Langres, rédige l'office de saint Mammès et en compose le chant (S. XI), I, 302.

 

RAYNAUD (Théophile), jésuite, auteur de plusieurs ouvrages liturgiques (S.  XVII), II,  92.

 

REGINON, abbé de Prum, adresse à l'archev. de Trêves un traité de Harmonica Institutions (S. IX), I, 259.

 

REGULIERS. Urbain VIII promulgue, dans une nouvelle édit. du Pontifical, une formule spéciale de promesse  d'obéissance pour les prêtres réguliers, après leur ordination sacerdotale, II, 4; l'Assemblée du clergé de France de 1650, voit cette addition avec déplaisir et prend la résolution d'en écrire au Pape; étrangeté de cette démarche, 5, 6; l'Assemblée du clergé de 1660 veut empêcher l'impression de la formule favorable aux réguliers, dans une édition du Pontifical faite à Paris, 6, 7; mesures prises par l'Assemblée de 1670 pour supprimer définitivement cette formule; gravité de cette conduite,8, 9; les gouvernements ennemis de l’Église ont toujours porté le clergé à combattre l'exemption des réguliers, 10; selon Fleury, l'infaillibilité du Pape s'est conservée et propagée par les Réguliers, III, préf., XLVI; l'empereur Joseph II déclare la guerre aux réguliers et entreprend la réforme de la liturgie, II, 527.

 

REINER, moine bénédictin, auteur d'un commentaire sur les antiennes de l'Avent (S. XII), I, 312.

 

RELIGION. Elle se montre visible et incessante sur la terre par la liturgie; la vertu de religion renferme tous les actes du culte divin, IV, 293, 294; prétendre qu'elle ne produit que des actes intérieurs, c'est contraire à la théologie; témoignage de saint Thomas, 294, 295 ; exemple de Notre-Seigneur ; ses actes  extérieurs de religion envers son Père; les sacrements qui nous donnent la grâce sont des signes sensibles, 296, 297; l’Église nous lie par des devoirs de religion extérieurs, 297; preuve de cette union du culte extérieur avec la vertu de religion dans le langage ordinaire des hommes, 297, 298; mal causé par les déistes qui ont soutenu le contraire, 298; la liturgie comprend tous les actes de religion ; réfutation du sentiment opposé, 299, 3oo; le culte rendu à Dieu par l'Église se manifeste par les rites sanctificateurs, par les chants sacrés, par des actes dont le sacrifice est le principal, 303, 304, 305 ; le culte intérieur impuissant sans les moyens visibles de communication institués par le Verbe incarné, 308 ; la liturgie fait partie essentielle de la religion, 319, 320.

 

RELIURE des livres liturgiques. Richesses et ornements de ces reliures, III, 406, 408; les reliures en ivoire, 409, 410; exemple de quelques anciens monuments de ce genre, 411, 412 et suiv. Les reliures en métaux précieux réservées aux manuscrits sur vélin, 425 ; étuis ou capses des livres liturgiques, 424; système de reliure appliqué aux livres liturgiques imprimés, 425; élégantes reliures en peaux ; décadence de cet art, 426.

 

REMI, moine de Saint-Germain d'Auxerre, ouvrages liturgiques qui lui sont attribués (S. IX), I, 259.

 

RENAUDOT (Éusèbe). Son grand ouvrage : Liturgiarum Orientalium collectio (S.XVIII), II, 479.

 

RESERVE APOSTOLIQUE. Toutes les églises suivant la liturgie romaine, soit avant la Bulle de saint Pie V, soit après, sont soumises à cette réserve, IV, 523 et suiv.; pourquoi l'église de Milan se trouve en dehors de la réserve pontificale, 527 et suiv.; le Bref de Grégoire XVI à l'archev. de Reims prouve que la France est soumise à la réserve apostolique pour la liturgie, 531.

Le Pape peut faire des décrets généraux qui restreignent l'autorité des évêques dans leurs diocèses; cette doctrine, confirmée par la condamnation des livres qui soutiennent le sentiment contraire, et de plusieurs propositions du synode de Pistoie, IV, 479, 480; tout catholique doit tenir ces réserves pour légitimes, 481; elles sont anciennes comme l'Église elle-même et ne lèsent pas l'autorité épiscopale, 482; exemples de quelques réserves formulées par le droit actuel, 483, 484; elles obligent selon la bulle Auctorem fidei, 485. En fait et en droit la réserve apostolique existe, même dans l'Église de France, 521, 522.

 

RESPONSORIAL. Il renfermait les répons et les antiennes de l'office; il a retenu le nom d'Antiphonaire I,  194.

 

REVELATION. Elle est la parole de Dieu, conservée dans le dépôt de l'Écriture sainte et de la tradition, IV, 416; elle peut être modifiée dans ses formes accidentelles, sans être jamais altérée dans son essence, 419; la révélation divine nous a été conservée par le pouvoir de l'Église de modifier les confessions de foi, 418.

 

RHABAN MAUR, archev. de Mayence. Ses œuvres liturgiques (S. IX), I, 267.

 

RICCI (Scipion de), évêque de Pistoie. Il convoque à Pistoie un synode dans lequel les théories des Jansénistes sur la liturgie sont adoptées; ses relations avec les novateurs français, II, 53o, 532 ; servilité de Ricci et de ses adeptes à l'égard du prince, 541. Voir Pistoie.

 

RICHARD, anglais, abbé de Prémontré, compose un livre de Canonae Missae (S. XII), I, 312.

 

RICHARD, chanoine de Saint-Victor de Paris, auteur liturgiste (S. XII), I, 310.

 

RICHARD, abbé de Saint-Victor de Marseille, légat de saint Grégoire VII en Espagne; il tient un concile à Burgos pour l'abolition de la liturgie gothique, I, 274, 275.

 

RITES (congrégation des), instituée par Sixte V en 1588, reçoit la mission de corriger les livres liturgiques, III, 231, 234, 235; attributions de ce tribunal, nombre des cardinaux qui le composent, I, 464, 465, 466; Urbain VIII confirme ces attributions, III, 232; la congrégation des Rites n'a jamais eu besoin de modifier le texte de ses lois, 371, 464; l'autorité des décrets de la congrégation des Rites est méconnue en France, III 553 sagesse et compétence de ce tribunal dans les causes en matière des rites sacrés, 554, 555.

 

RITES sacrés. Abandon de la science des rites sacrés en France, conséquence inévitable des variations de la liturgie dans nos églises, I, pr., LXIX. La science des rites catholiques demande une application profonde,  13.

 

RITUEL d'Alet. Publication de ce rituel par l'évêque Nicolas Pavillon en 1667; maximes jansénistes sur l'effet des sacrements, professées et appliquées dans ce rituel, II, 17, 18; Clément IX condamne le rituel d'Alet par un bref du 9 avril 1668, 18, 19 ; ce bref n'est pas reçu en France, ig; plusieurs évêques donnent leur approbation à ce rituel, 20, 21 ; noms des signataires de cette approbation, 22; la langue vulgaire employée pour la première fois dans les rubriques  du rituel d'Alet, 22, 23.

 

RITUEL apostolique, écrit ou traditionnel, renfermant les rites pour les sacrements, I,  36, 07.

 

RITUEL  de  Paris,  publié  par Mgr de Juigné. Ce livre liturgique dépasse en hardiesse tout ce que les Jansénistes avaient fait jusqu'alors en matière de liturgie, II, 517; nouvelle édition du Rituel parisien par Mgr de Quélen avec des améliorations, 618.

 

RITUEL romain. Rome achève la réforme du culte divin par la publication du Rituel; premiers essais du dominicain Castellani, du chanoine Samarini et du cardinal Sanctorio, I, 507; jusqu'à cette époque, le rituel ne formait pas un livre à part; Paul V promulgue le rituel romain en 1614 par le bref Apostolicae Sedi, 508 ; le pape exhorte les prélats à adopter le nouveau rituel, mais il ne leur en fait pas un ordre, ne voulant pas détruire violemment les coutumes locales qui existaient dans l'administration des sacrements, 50o, 510; il est cependant adopté dans presque tout l'Occident, et sert de modèle à tous les rituels particuliers, 510, 511 ; dernière édition de Benoît XIV, III, 231.

 

ROBBES, docteur de Sorbonne, auteur d'une dissertation sur la manière de prononcer le Canon de  la  Messe  (S.  XVII), II, 101. Robert , roi de France, auteur  de plusieurs pièces de chant (S. X), I, 262, 287.

 

ROBERT Paululus, prêtre d'Amiens, rédige trois livres liturgiques (S. XII), I, 312.

 

ROBERT, prieur de Saint-Laurent de Liège, écrit un traité de Divinis officiis (S. XII), I, 305.

 

ROBINET (Urbain). Il publie en 1744 un Breviarium ecclesiasticum; son but est d'opposer un corps de liturgie catholique au bréviaire de Paris, mais il le rédige d'après les principes du temps et mérite d'être compté, malgré ses bonnes intentions, au nombre des autres faiseurs ses contemporains, II, 347 et suiv. Voir : Bréviaire ecclésiastique de Robinet ; cet auteur comme hymnographe doit être placé sous le rapport de l'onction et de l'orthodoxie au-dessus de Coffin, et il ne lui est pas inférieur par le mérite littéraire; liste de ses plus belles hymnes, 348.

 

ROCCA (Ange), évêque de Tagaste. Ses œuvres liturgiques (S. XVI), I, 479.

 

ROCHETTE (Raoul), auteur du Tableau des Catacombes et de plusieurs dissertations sur le même sujet (S. XIX), II 687.

 

ROCH (Daniel), prêtre catholique anglais, auteur d'un livre sur le Saint-Sacrifice de la Messe (S. XIX), II, 689.

 

RODOTA (Pierre-Pompilius), compose un ouvrage sur les rites grecs observés en Italie (S. XVIII), II, 570.

 

RODRADE, prêtre d'Amiens, revoit le Sacramentaire grégorien (S. IX), I, 258.

 

RODULPHE, abbé de Saint-Trond, habile dans le chant ecclésiastique (S. XII), I, 3o9,

 

ROME. Églises; trésor de la basilique de Latran, d'après le Liber pontificalis, I, 92, g3 ; munificence de saint Silvestre envers la basilique du titre d'Equitius, 93, 94; la nouvelle Rome a autant d'autorité que l'ancienne; elles ne font qu'une, IV, 548; saint Grégoire organise les stations dans les basiliques de Rome, I, 157; il règle les messes solennelles que l'on devait célébrer sur les corps de saint Pierre et de saint Paul, 158.

 

ROMSEE (Toussaint-Joseph), professeur au séminaire de Liège. Ses traités liturgiques (S. XIX), II, 683.

 

RONDET (L.-E.), janséniste. Il est l'arbitre de la liturgie pendant la seconde moitié du XVIII° siècle; diocèses qui lui doivent leur liturgie, II, 504; caractères de ces livres liturgiques, 505, 506, 575.

 

ROUEN (concile de) 1581. La province ecclésiastique accepte la réforme de la liturgie selon les constitutions de saint Pie V, I, 440; l'étude des bréviaires normands de cette époque montre la fidélité des évêques au décret du concile, 441.

 

ROZIERE (Poussou de la), auteur d'un mémoire sur la liturgie (S. XIX), II, 680.

 

RUBEIS (J.-B. de) publie le Rationale officiorum (S. XVII), I, 523.

 

RUBRIQUES.   Publication  définitive du corps de rites et observances sacrées, appelées rubriques, à la fin du XV° siècle, ancienneté de ces lois qui se montrent de plus en plus détaillées dans les Ordres romains, I, 370, 371 ; Jean Burehard, maître des cérémonies pontificales, rédige les rubriques de la Messe; celles du bréviaire et du pontifical rédigées à la même époque, 371.

 

RUINART (dom Thierry), bénédictin, compose une dissertation historique sur le Pallium des archevêques (S. XVIII), 11, 477.

 

RUPERT, abbé de Tuy. Ses œuvres liturgiques (S. XII), I, 305.

 

RUSSIE. La foi s'éteint en Russie, sous l'empereur Nicolas, par suite du changement forcé de la liturgie romaine; les liturgies orientales impuissantes à tout développement, ont besoin d'une modification, pour qu'une réunion durable puisse s'accomplir, II, 657; exemple d'une modification semblable dans la métropole grecque de Kiew, 658; missels slaves, ,forteresse de la foi et de l'unité, 659; Tes diverses modifications de la liturgie grecque dans le sens romain se rapportent à deux classes, la première dans le rituel, la seconde dans le missel; modifications touchant le sacrement de l'autel, 660, 661; la liturgie grecque chez un peuple uni à l’Église romaine, tend naturellement vers les formes du christianisme occidental; de la persécution des Grecs-unis, remèdes qu'apporte le Saint-Siège, 661, 662; abominable tyrannie de Nicolas Ier, sa persécution contre les Grecs-unis, 663; résultat funeste de son impie machiavélisme par le schisme des trois derniers évoques de toute la Russie du rite grec-uni, 664; protestation de l'évêque de Chelm et de cinquante-quatre prêtres lithuaniens; moyens employés par l'autocrate pour le succès de son œuvre ; suppression des Basiliens; Missel conforme à celui des schismatiques, ne différant de l'ancien que par ses omissions, 665, 666; on rétablit la barrière des iconostases, 667; pourquoi la suppression de l'orgue et de la sonnette pendant la messe, 668, 669; moyens employés pour détruire le catholicisme, 670; les apôtres grecs de la Ruthénie lui donnent la liturgie grecque en slavon, III, 108; la Ruthénie conquise est de nouveau perdue, faute d'être unie à Rome par la langue sacrée, 109, 118.

 

 

 

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